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Quel œil se cache derrière la surveillance de masse : celui d'un ami qui vous veut du bien ou d'un ennemi de votre liberté d'entreprendre ?

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Photo du site http://fedetlib.overblog.com/2015/04/idolatrie.html

Supprimer des libertés pour mieux les protéger ?

Avec cette loi, on dit aux citoyens qu’on va surveiller tout le monde dans le seul objectif d’enrayer la menace terroriste, alors que c'est une loi beaucoup plus générale sur le renseignement. En gros, on fait exactement la même chose que la NSA aux États-Unis, qui communique sur ses résultats de manière plutôt floue.

Les responsables de la NSA avaient assuré que qu'ils ne surveillaient pas le peuple américain et que leurs actions se bornaient à identifier les terroristes. Comment dire lire la suite

La presse doit-elle être mise à l'écart de la loi sur le renseignement ?

Le gouvernement français aimerait faire voter une loi pour renforcer les capacités de renseignement du pays et l'adapter aux évolutions de la technologie. Quelles pourraient être les conséquences pour les journalistes et les médias ?  Écouter l'émission

« Je n'ai pas d'états d'âme donc je ne suis pas un être humain . » Des bipèdes pensants "sous-humains"avec des intelligences artificielles gouverneraient-ils le monde  ?

Dans cette vidéo, Omar Aktouf Professeur titulaire Management, HEC, Montréal (1987) Méthodologie des sciences sociales et approche qualitative des organisations décripte les illusions et les erreurs de la direction dominante « économique » de la Planète. vidéo ici

Pas de Liberté et de Fraternité sans Egalité et sans les trois réunies : pas de république possible

Demande judiciaire en nullité contre la marque «Les républicains» déposée par l’UMP

Si la République est « une et indivisible », les Républicains sont pluriels et variés.

Aucun parti ne peut s’arroger le monopole de l’appellation qui est notre patrimoine commun.

Les Républicains sont l’ensemble des Françaises et des Français attachés à la forme républicaine et démocratique, expression naturelle  de la souveraineté nationale.

Aucun parti, aucune faction ne peut prétendre détenir seul un titre qui appartient à tous.

Le risque d’un dépérissement du mot, et donc de l’idée républicaine, est d’autant plus grand que ce changement de nom s’apparente à un énième ripolinage destiné à masquer l’implication d’un parti impliqué dans de nombreuses et scabreuses affaires politico-financières. lire la suite

Mais où sont passés les 500 milliards de dollars de KADHAFI ?

Le scandale lié au financement de Sarkozy en 2011 par Khadafi, ne serait en fait qu'un tout petit arbre qui cache une énorme forêt " de pognon"... !!!
En effet, 20 ou 50 millions d'euros de financement Khadafi pour Sarko, face à 500 milliards de dollars qui dorment on ne sait où, c'est "peanuts" non? (au moins 10 000 fois plus!) voir la vidéo

L'ennemi de la démocratie et de la république ne commence t-il pas par le système de vote actuel qui permet de donner à deux partis politiques en alternance un pouvoir qu'une majorité de Français ne souhaite pas

Certains prétendent qu'il suffirait de rendre le vote obligatoire pour rétablir la démocratie et la république , ils auront raison en ajoutant la reconnaissance du vote blanc.

La France n’est pas une Démocratie : L’Etat, les partis, les politiques jouent contre les Citoyens.

« Etre résistant en temps de paix pour ne jamais être un ancien combattant. »
Il ne se passe pas de jours, en France, sans que soient claironnées les « valeurs de la République. »Ce qui sous-entend...dans une République démocratique.

Ces incantations sont vides de sens dans la mesure où, dans une Société, le respect mutuel doit exister. Surtout le respect du aux citoyens.

Or si de nouvelles lois s’imposent aux citoyens, égaux en droits et en dignité, qui doivent les respecter, ceux qui les votent et exercent une autorité, les bafouent sans cesse. 

Aujourd’hui il peut être affirmé que la France glisse, chaque jour un peu plus, vers un régime totalitaire. lire la suite

Manifester en France, c'est risquer de finir en prison

Il plane dans ce pays une atmosphère bien étrange. Quoi que l’on puisse penser du douteux cortège de tête de la mobilisation fleuve ayant défilé dans les rues de Paris, le 11 janvier, après les attentats contre Charlie Hebdo et l’Hyper Cacher de Vincennes, ce sont bien quatre millions de personnes qui ont choisi de manifester pour dire leur rejet des attentats et leur attachement à un certain nombre de valeurs démocratiques. Comme le notaient alors les correspondants de la presse internationale, c’est au travers de la «manif», sorte de paradigme hexagonal de l’expression collective, que les Français avaient décidé d’exprimer leur émoi. Hollande et son gouvernement, eux, jouaient la carte de l’émotion et de la responsabilité, n’hésitant pas à se présenter comme les hérauts de la liberté d’expression. Mais celle-ci, en France, avant comme après ce défilé historique, n’est pas un étalon universel, loin de là. Il existe des territoires et des villes où manifester peut conduire derrière les barreaux. lire la suite

En quelques années, les questions d'environnement sont arrivées sur le devant de la scène. La prise de conscience ne s'est pas faite sans douleur. Terre à terre souhaite faire le lien entre les informations qu'on reçoit de partout ; tisser un réseau entre tous ceux qui, en France et à l'étranger, sont dans la recherche active, expérimentent des solutions ; resituer chaque question dans un contexte, prendre assez de recul pour voir comment elle a évolué sur dix ou quinze ans dans son traitement comme dans l'opinion ; être à l'affût des initiatives locales, qu'elles émanent de particuliers, d'associations ou de collectivités territoriales ; savoir ce qui se fait à l'étranger et être un relais des expériences réussies ; chercher à confronter sans tomber dans la polémique... Ce magazine veut avant tout désamorcer la dramatisation pour permettre la réflexion. Pour accéder aux nombreuses émissions radio

Mouvements sociaux : « L’écologie est sans doute l’une des tentatives les plus abouties pour redonner du sens commun »

La société française doit beaucoup à l’apport des luttes sociales et des grands mouvements populaires de gauche. L’historienne Danielle Tartakowsky, présidente de l’université Paris-VIII, revient sur cette spécificité hexagonale. Mais « nous connaissons aujourd’hui la fin d’un cycle hérité de ces grands mouvements », prévient-elle, alors que le modèle social bâti depuis 80 ans est battu en brèche. Si l’actuelle période de crise économique et politique est peu propice à l’émergence de luttes communes pour un changement global, « il y a, aujourd’hui, nombre de forces dormantes. Si un espace s’ouvre, elles peuvent se remobiliser », estime l’historienne. L’écologie en fait partie. lire la suite

Pourquoi des mouvements sociaux reconnus pour des tentatives abouties à  redonner du sens commun à un pays qui en a grandement besoin seraient-ils les premiers surveillés ?

La loi sur le renseignement vise aussi les zadistes, les écolos et les antinucléaires

Le gouvernement Valls présente une loi antiterroriste, qui vise en fait à surveiller, sans contrôle judiciaire, tous les citoyens. Parmi les cibles : les mouvements sociaux et écologistes, les zadistes et les antinucléaires. lire la suite

Surveiller et punir !?…

Plus que jamais soyons vigilants écouter la voix de Patrick Figeac

Entre sociologisme et autoritarisme, émergence de la liberté, la pédagogie travaille  à l’ émergence de la liberté !! voir la suite


Et si demain, l’agriculture ressemblait à ça ? Imaginez le pire avec Dystopia

Avec Dystopia, Alexa Brunet (photographe) et Patrick Herman (paysan en agriculture biologique et journaliste indépendant) proposent de découvrir, au travers d’une enquête illustrée de trente photographies, les dégâts de l’agriculture intensive sur la nature, les animaux et les hommes. voir la suite

La France a détruit l'équivalent de sept départements en trente ans

La France détruit son territoire à vitesse grand V. C'est ce que l'on apprend à la lecture d'une enquête consacrée à l'évolution des villes depuis trente ans publiée ce mercredi par l'Insee.

Les chiffres, parfois, sont terribles. Entre 1982 et 1991, la population des villes s'est accrue de 23%, en gagnant près de 9 millions d'habitants supplémentaires. Le problème est que l'espace urbain a, lui, augmenté beaucoup plus rapidement : il a gagné... 42%, en passant de 84000 km² à 119000 km². En savoir plus sur

Rencontre de Reporterre : Faisons de l’agriculture une solution au changement climatique

Lutter contre les OGM, les pesticides, l’agro-industrie, mais aussi contrer le discours dominant sur l’agriculture qui éloigne du « bon sens paysan » : des discours toniques ont animé le débat - en musique - vendredi 10 avril à la Ferme à Paris. Conclusion : les paysan-ne-s peuvent aussi sauver la planète ! Voici le récit de la rencontre en video.

États-Unis : Monsanto attaqué en justice par 270 000 agriculteurs bio

Près de 300 000 agriculteurs biologiques ont porté plainte contre le « géant » agricole Monsanto qui a, ces dernières années, écrasé méthodiquement l’agriculture bio indépendante.

Le 30 mars, l’équivalent de 270.000 plaignants ont intenté un procédure judiciaire pour tenter de garder une part du marché mondial à l’alimentation bio indépendante. La plainte provient de près de 60 fermes familiales, d’entreprises semencières et d’organisations agricoles biologiques. lire la suite

Kokopelli: le combat de David contre Goliath pour l'indépendance alimentaire se mène depuis l'Ariège

Cette association loi 1901, base arrière pour la sauvegarde de la biodiversité des semences dans le monde s’est installée il y a près de deux ans sur les hauteurs du Mas d’Azil.

Plus de 1600 variétés disponibles sur site, parmi lesquelles 600 variétés de tomates, 300 de courges ou 200 de piments, mais aussi des plantes médicinales, céréalières ou condimentaires stockées dans cette ruche où s’affaire une quinzaine de personnes. lire la suite

Ce viticulteur a tout quitté pour dénoncer le scandale des insecticides

Fruit d’une enquête de plus de deux ans, le documentaire « Insecticide mon amour » a été réalisé par un ouvrier viticole de Saône-et-Loire qui, non content d’avoir été contraint de pulvériser des insecticides sur ses vignes saines, a décidé de quitter son travail pour comprendre d’où venait le problème… lire la suite

« Insecticide mon amour », le film qui atomise les pesticides

Guillaume Bodin a 28 ans et deux films à son actif : le premier, « La Clef des terroirs » (2011), célébrait la biodynamie et celles et ceux qui la pratiquent. Son deuxième film, « Insecticide mon amour », s’attaque au flanc opposé de la montagne en dénonçant, témoignages et documents à l’appui, la dangerosité des pesticides, leur réduction en trompe-l’œil – celle-là même que nous promettent les politiques – et l’usage préventif parfois dévastateur qui en est fait.

Lui-même ouvrier viticole, pris de maux de tête et de saignements de nez réguliers, Guillaume Bodin a choisi de démissionner pour se lancer dans la réalisation et la production de ce film, aujourd’hui disponible à 1 euro en VOD. lire la suite

Décès d'un agriculteur lié aux pesticides ? Une expertise médicale demandée par les juges

La cour d'appel de Bordeaux a ordonné jeudi une expertise médicale dans l'affaire Denis Bibeyran, un ouvrier viticole décédé d'un cancer rare en 2009. L'examen doit permettre d'établir un lien éventuel entre sa maladie et l'exposition aux pesticides liée à son activité professionnelle.

Cette expertise vise à établir si la maladie contractée par Denis Bibeyran est ou non "assimilable à une des pathologies reconnues comme professionnelles", a expliqué François Lafforgue, avocat de la soeur de Denis Bibeyran, Marie-Lys Bibeyran.

Celle-ci se bat depuis plus de quatre ans pour faire reconnaître post-mortem ce cancer comme maladie professionnelle. lire la suite

Gagner sa vie en faisant perdre celle des autres ? Comment sortir de la complicité d'un système de destruction massive ?

Chimico-sensibilité

Une grande interview en une série de trois émissions avec deux invité-es : Sylvie Renault, auteure de Si ! Ça se peut, et Dèlfin, pour nous exposer leurs points de vues de chimico-sensibles sur cette affection et le monde qui va avec. Des éléments de leur histoire avec cette affection [= MCS, Multiple Chemical Sensitivity, hypersensibilité chimique , hypersensibilité chimique multiple, connue seulement d'une partie de nos médecins], les symptômes, les perturbations dans le corps, des implications dans la vie quotidienne, des considérations sociales, médicales et scientifiques, des mises en garde, des conseils pour s'autodiagnostiquer, se désintoxiquer, l'hydroxide de magnésium, arrêter de s'intoxiquer, des liens avec la nourriture industrielle, les produits d'hygiène et d'entretien, les vaccins, les métaux lourds, les nanoparticules, des exemples de résolution pratiques et locales, un programme personnel, une invitation à se rassembler et à échanger sur ce drame que vivent de plus en plus d'entre nous, sur des moyens d'y mettre fin.
(en vert les sujets abordé dans ce numéro)  lire la suite

La surveillance de masse : une loi scélérate pour une surveillance qui ne sera jamais parfaite ? Une loi venant s'empiler sur toutes les autres sans jamais remonter à la cause des réels problèmes que vit notre société ?

Si le terrorisme se nourrit de l'imperfection d'un système incapable de respecter ses promesses et ses engagements, en répondant aux besoins essentiels des peuples : se nourrir, se vêtir, se loger, s'éduquer : une loi pour une surveillance de masse serait-elle capable de faire face à la croissance de violence ?

Les terroristes étaient connus d'après de nombreuses sources des services de police pourquoi dans ce cas n'avoir pas agit avant de lancer un projet de boites noires ? Faut-il sous prétexte de servir la sécurité des citoyens s'intéresser à enrichir les fabricants de boîtes noires ou s'en prendre politiquement avec courage à la racine de la fabrique de la pauvreté par un système incapable de voir ses responsabilités en face , incapable de dépasser ce stade massif de la supercherie permanente ?

En priorité : faut-il une surveillance de masse ou une nourriture pour chaque être humain  ? Faut-il mettre en place une économie démocratique ou continuer à fabriquer du matériel sans jamais pour autant régler le problème de la violence engendré par un système de compétitions , de croissance et de guerres d'intérêts particuliers ? Qui peut se cacher derrière la surveillance de masse et quels dangers pour nos choix de consommation ? Cet oeil a-t-il un intérêt à détruire toute opposition au système universalisé de la malbouffe  qui a beaucoup de mal à se faire entendre avec sa répétition de scandales ? Une nouvelle supercherie pour protéger les grands lobbies industriels dominant le modèle unique systémique mondialisé continuant à empoisonner les peuples pour ne pas les nourrir tout en leur vendant de nouveaux grands projets inutiles ?

Depuis plus d'un demi siècle, des femmes et des hommes luttent contre l'industrie des grands lobbies et les scandales permanents révèlent chaque jour un peu plus sa faillite : désaccord entre les promesses faites aux peuples et l' incapacité à les réaliser sans ajouter de nouvelles catastrophes aux catastrophes déjà existantes.

Ces résistances de femmes et d'hommes a éveillé la conscince et travaille à faire connaître au public , d'autres méthodes d'agricultures et de maraîchages possibles, d'autres recettes alimentaires pour nourrir et non pas empoisonner ou affamer les peuples chaque jour un peu plus, comme c'est le cas avec la malbouffe industrielle.

Ces méthodes ( permaculture, biodynamie....) sont des méthodes économiques qui retirent le  pouvoir à l'argent qui domine ce monde en inventant des systèmes artificiels dangereux  contre la vie dans son plus large objet. Ces méthodes économiques en allant dans le sens de la démocratie et de la république donneront aux peuples le droit de produire autrement et de se nourrir par eux-mêmes, elles vont de ce fait à l'encontre des intérêts de l'asservissement à la malbouffe et à l'anéantissement de l'être humain en le rendant dépendant de poisons .

Partout dans le monde, les systèmes de croissance artificielle font perdre la liberté en vendant les supercheries publicitaires « tout va bien dans le meilleur des mondes et nous travaillons pour vous pour que demain ça aille toujours mieux » Demain , toujours demain, depuis le temps que la publicité existe, cela se saurait si telle était la vérité. En réalité, ce n'est pas le cas, le système mettant le matérialisme avant l'être humain développe en priorité la croissance de l'intelligence artificielle , la ruse si chère à nos élites , le bipartisme politique est la conséquence de ce développement de la supercherie qui a pour objet d' éradiquer toute intelligence du cœur liée à la condition d'être humain . Protéger les libertés contre l'uniformisation d'un système dirigé par l'intelligence artificielle est donc un devoir pour les biens communs et les générations à venir, c'est aussi le moyen de lutter réellement contre la pauvreté et la misère.

S'intéresser aux pauvres avant de s'intéresser en priorité à l'image de son  paraître devient la plus grande richesse à coconstruire

Car une société qui fabrique des pauvres est condamnée à disparaître

Comment la Banque mondiale a échoué à protéger les pauvres

Créée pour lutter contre la pauvreté, la Banque mondiale finance des projets inefficaces et en totale contradiction avec certaines de ses missions. C’est ce que révèle une enquête du Consortium international des journalistes d’investigation.

Après l’enquête retentissante de janvier 2015 sur le scandale d’une fraude planétaire orchestrée par la banque HSBC, le Consortium international des journalistes d’investigation a encore frappé. lire la suite

1% possède tout. 99% n'ont rien, ces inégalités qui rongent le monde !

« Moraliser le capitalisme » pour éviter les dérives... c’étaient les grandes promesses de 2008 au début de la « crise ». Il s’agissait bien plutôt de désarmocer la colère qui se faisait jour et faire payer les peuples via les politiques d’austérité. En 2014, les 1 200 plus grandes entreprises mondiales distribuaient aux actionnaires quelque 1 200 milliards de dollars. Dans le même temps, les inégalités se sont creusées entre les pays et au sein des sociétés. La pauvreté progresse en France et en Europe. « Nul homme n’a le droit d’entasser des monceaux de blé à côté de son semblable qui meurt de faim », dénonçait déjà Robespierre en 1792. Le combat continue ! lire la suite

Informations complémentaires

Nourrir la planète, énergie pour la vie lire la page 

Sommes-nous en démocratie, allons-nous dans le mur ou dans le gouffre ? lire la page 

Une démocratie alimentaire et une république adaptées au XXIème Siècle lire la page

Lutter contre la corruption, à la conquête d'un pouvoir citoyen lire la page