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Dans un monde complexe dépasser les contradictions favorise la démocratie évolutive

Les contradictions dans un monde complexe sont souvent inévitables . Cependant, persévérer dans la voie de les démultiplier sans pour autant rechercher la démocratie évolutive ne permet pas de concevoir des outils pratiques pour favoriser le lien social  à commencer par les échanges d'informations. 

La fracture sociale est une expression politique qui a fait son chemin , déjà en 1995, Jacques Chirac dénonçait le creusement en France d'une «fracture sociale», symbolisée par la montée inexorable du chômage. Le thème fera mouche et le portera au pouvoir. voir la suite

Les Français aiment bien la liberté, mais ils préfèrent que l’État s’occupe de tout. Décryptage.

Par Nathalie MP.

Les Français aiment bien la liberté, mais ils préfèrent que l’État s’occupe de tout : tel est l’enseignement lapidaire et sans bavure qui ressort du 4ème baromètre sur « Les Français et le libéralisme » publié cette semaine par l’Ifop à la demande du journal L’Opinion et du think-tank Génération Libre de Gaspard Koenig. Suite

Rechercher l'équilibre entre Liberté -Egalité-Fraternité pour éviter le développement des contradictions

L'Économique, le Juridique, le Spirituel-Pour un organisme social tri-articulé

Le premier épisode de la série est en accès libre (gratuit)
99 ans après la naissance de la Tri-articulation sociale (Dreigliederung), sort le premier film de cette ampleur consacré aux idées sociales de Rudolf Steiner. Aujourd’hui, saurons-nous enfin tirer partie de ce qui constitue, pour l’humanité en péril, une authentique “troisième voie” ?
Première partie : L’argent et l’économie” 
Qu’est-ce que vraiment l’argent ? Voir la vidéo

 

Projet semaine de formation été 2018 voir la suite

Construire ensemble pour dépasser les inégalités . Droits sociaux : les six aides clés non réclamées par les Français lire la suite

Voici quelques exemples de contradictions à éviter

Certains affirment que le bénévolat réglera le problème de l'emploi . Le bénévolat reste un engagement incontestable pour servir certaines causes non prises en compte par l'économie basée uniquement sur la vente et la production. Cependant, le bénévolat doit se transformer en projet de service rémunéré sinon, comment le chômage (qui découle d'un manque d'emplois c'est à dire de travaux rémunérés) peut- il trouver une solution à sa cause ? L'emploi est une activité rémunérée , le bénévolat ne l'est pas , le besoin de la plupart des citoyens est d'augmenter leurs revenus lorsque leurs dépenses augmentent.

Dans ce cas le bénévolat peut permettre de créer des outils pour le développement de services rémunérés. Ainsi, dans le cadre d'un emploi durable, ces services contribuent ensemble à diminuer réellement le chômage dans une société qui a besoin de diversifier son économie en s'appuyant sur le fondement social autant que sur l'écologie . Pour y parvenir de nouveaux services favorisant la vente et la formation d'un réel développement durable dans le sens de démocratie évolutive sont nécessaires.

Autre exemple de contradiction :

Des collectivités demandent et obtiennent des subventions publiques dans le cadre du développement durable et l'autonomie d'énergie pour l'avenir économique territorial , mais lorsque certaines d'entre elles reversent dans l'immédiat des aides publiques à des associations éphémères ou à d'autres activités associées au superflu ; elles ne respectent pas la charte de l'éthique du pourquoi elles ont reçues des aides publiques.

La gestion des biens communs est indispensable pour assurer le «  bien vivre ensemble » que le superflu n'assurera qu'artificiellement pour quelques groupuscules minoritaires séparés les uns des autres et déconnectés des réalités face aux dangers à venir . La coopération pour l'existence évitera contradiction et illusion et permettra de développer un projet social intégrant en priorité la conscience de l'être humain ; et ainsi de dépasser les intérêts des pouvoirs des minorités faisant croître le rêve du «  ça ira mieux demain ».

Croire à un rêve qui confond superflu et existence évite  la réflexion consciente . Cette réflexion consciente ne doit-elle pas avant tout rechercher le sens réel des mots (sur internet ou ailleurs ) pour éviter le piège des discours magiques ? Individuellement ou en groupes de minorités, une conscience de services de biens communs dans un monde de plus en plus complexe ne doit-elle pas s'instruire pour chercher « à gagner du temps » en s'organisant coopérativement ?

Le pouvoir administratif d'en haut descendant d'un Etat ou d'une collectivité territoriale prouve depuis plusieurs décennies qu'il ne peut seul organiser la mise en place d'outils pour la pratique du lien social . Des droits existent mais s' ils ne sont pas utilisés, le développement durable perd son sens et la fracture sociale se poursuit . Des outils (pour la pratique du lien social et les échanges d'informations) ne peuvent s'organiser qu'à partir de la base citoyenne par la démocratie évolutive respectant la charte du développement durable sans dissocier les 3 piliers fondamentaux social-écologie et économie qui doivent rester inter-connectés.

Certes le pouvoir politique peut donner au mot démocratie le sens de participatif , mais ne faut-il pas créer ce lien entre le haut et le bas de la Société?

Démocratie Participative ou Evolutive ?

Pour l'expérimentation d'une démocratie de la société civile

par Michel Laloux

Michel Laloux est économiste-philosophe-enseignant auteur de

-Démocratie évolutive

- Dépolluer l'économie 

voir la vidéo Dans quel Etat finirons-nous ? cliquer  ici  

De nombreux événements locaux et mondiaux montrent que nous sommes entrés dans une période de changements voire de bouleversements qui ont un impact dans les domaines scientifiques, technologiques, climatiques etc.. Mais dans chaque cas, nous pouvons nous demander si le changement correspond à une transformation ou s'il procède d'une continuation d'une approche ancienne des choses.

Pour ce qui est de la démocratie, il est indispensable de se poser la question, car le mot changement est bien galvaudé. Quel est le candidat à l’élection présidentielle de 2017 qui ne s’en réclame pas?

En politique,les mots sont vidés de leur sens et deviennent des outils de communication, souvent trompeuse. Par exemple, prenons l’expression Démocratie Participative. Elle a été fortement médiatisée par Ségolène Royal, au temps de la présidentielle de 2007. Depuis, elle est employée dans de nombreux contextes et ceux qui aspirent à une autre gouvernance de la chose publique l’utilisent.

On a même pu le constater lors de la primaire du parti Les Républicains, par la bouche de Nathalie Kosciusko-Morizet. Mais d’autres qui ont une sensibilité politique opposée comme, par exemple, Les Indignés et les acteurs du mouvement Nuit Debout veulent aussi une nouvelle forme de participation citoyenne. Cette question est dans l’air du temps. Voir la suite

N'ayons pas peur d'organiser une réflexion sur la question économique en se posant de bonnes questions . La misère des uns peut-elle assurer des postes pour d'autres , si ceux-ci ne remontent pas à la cause de la fracture sociale ? Sans réciprocité , sans équité , la valeur réelle de l'économie pourra-t-elle innover de nouveaux services dépassant les intérêts individuels et groupusculaires à court terme pour le superflu sans coopérer pour le durable des biens communs ?

Les biens communs et le Mouvement commun de la transition 

Les « biens communs », késako ? C’est l’air que l’on respire, l’eau que l’on boit, les forêts que l’on exploite et dans lesquelles on prend plaisir à flâner, ce sont les semences, garantes de la biodiversité – et donc de notre survie – c’est la Terre, notre habitat. Mais ce sont aussi les logiciels libres, les modes de vie traditionnels, les connaissances, l’information, etc. Bref, ce sont des ressources naturelles ou culturelles gérées par une communauté qui se donnent ses propres règles en vue de les préserver.

Et si les « communs » constituaient cette fameuse « troisième voie », sociale et écologique, entre le marché et l’État ? Lire la suite

 

L'économie devient malade dès l'instant où l'un de ces quatre facteurs - monnaie, capital, immobilier, travail - est considéré comme une marchandise. Il s'agit donc de trouver des formes qui permettent de les sortir de ce domaine. Alors l'économie cessera d'être spéculative. Elle s'affranchira de tout ce qui est devenu virtuel en elle.
Une économie entièrement basée sur le réel est possible. Il s'agit d'un économie qui ne prend en compte que ce qui provient d'une activité issue des capacités humaines, c'est-à-dire une valeur ajoutée qui procède de l'être humain et non d'un mécanisme spéculatif. Lire la suite

 

Mouvement pour la tri-articulation sociale : la vie économique

L'objectif de l'économie se limite à régler la production, la circulation et la consommation des biens et services de la manière la plus avantageuse possible pour toutes les parties.

L'homme y satisfait ses besoins et y exerce son activité. Chacun y a ses intérêts particuliers. L'un sert les intérêts de l'autre.

La nature d'une économie moderne et fraternelle

Les ensembles économiques se sont élargis au cours de l'évolution de l'humanité. De l'économie familiale fermée, nous sommes arrivés, en passant par l'économie urbaine et nationale, à une économie mondiale. Ces économies nationales sont issues de forces politiques provenant d'un État qui veut réglementer, organiser de l'extérieur la vie économique. Actuellement, nous pouvons constater une certaine confusion entre l'économie et l'État.

Or, la vie économique aspire à s'édifier elle-même sur ses propres forces.  lire la suite
 

Entre eux , les citoyens peuvent organiser leurs échanges que l'Etat et ses collectivités territoriales ne peuvent penser pour eux .

Un exemple de service de biens communs « la lettre citoyenne pour annonces et services  »

Contacter nous si vous souhaitez participer à ce service

Christiane Roques: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

René Chaboy:  Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. tél : 05 63 67 02 36

Informations complémentaires

A l'heure du numérique peut-on concevoir des services communs pour l'être humain ? lire la suite