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Les nouvelles du Monde face au pouvoir spéculatif sans limite de la haute finance.

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Armes chimiques ce que les médias ne disent pas cliquer ici

Syrie Lundi 16/09/ 13 "Nous enquêtons sur quatorze cas présumés d'usage d'armes chimiques, mais nous n'avons pas établi qui est responsable" de ces crimes, explique à l'instant la Commission d'enquête de l'ONU sur les violations des droits de l'homme en Syrie. Elle précise que ces attaques auraient été commises depuis septembre 2011.lire la suite

Lundi 16 09 2013 Syrie : L'Onu enquête sur 14 cas d'attaques chimiques

"Nous enquêtons sur 14 cas présumés d'utilisation d'armes ou d'agents chimiques. Mais nous n'avons établi ni les responsabilités, ni la nature des substances utilisées", a-t-il dit lors d'une conférence de presse.lire la suite

 Les frappes militaires sur les cibles d'armes chimiques profiteraient-elles à la sécurité des peuples de la planète et à son écologie ou aux intérêts des partisans du pacte d'accord transatlantique : un nouvel OTAN économique ?

Projet d'accord transatlantique : un nouvel OTAN économique
Communiqué du Mouvement politique d’émancipation populaire (M’PEP).

Les États-Unis d’Amérique ont proposé à l’Union européenne un accord commercial bilatéral à l’occasion de la réunion du G8 qui s’est tenue à Lough Erne, en Irlande du Nord, les 17 et 18 juin 2013. Il n’y aurait rien à redire si ces négociations entre les États-Unis d’Amérique et l’Union européenne avaient pour objectif de rapprocher les peuples des deux côtés de l’océan. lire la suite

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Collectif citoyen les Engraineurs : le grand marché transatlantique ne se fera pas : stop Tafta cliquer ici Sur facebook cliquer ici

La situarion en Syrie et les conséquences du 11 Septembre par Thierry Meyssan cliquer ici

Attaques chimiques en Syrie : il faut recourir au droit plutôt qu'aux armes

Avatar de Corinne LepagePar Corinne Lepage Eurodéputée

Un leader de l'opposition, Haytham Al-Manna, juge les plans d'intervention militaire américains "sataniques" cliquer ici

Sans couverture internationnale, les terroristes n'auraient jamais osé franchir les lignes rouges!

par Mère Agnès-Marian de la Croix cliquer ici

Un député vénézuélien présent en Syrie répond aux mensonges de CNN cliquer ici

Le rapport de Carla-Del-Ponté non pris en compte par les « dirigeants occidentaux » ? cliquer ici

Les vétérans du renseignement US à Obama: ce n’était pas Assad

wpid-obPar Alalam, le 8 septembre 2013

Une douzaine d’anciens officiers du renseignement civil et militaire US ont dit au président Obama qu’ils reçoivent des informations prouvant que le gouvernement syrien n’était pas responsable de l’attaque chimique près de Damas le 21 août. lire la suite

Les infos dont on parle peu cliquer ici sur facebook cliquer ici

Une solution pour la Syrie

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La guerre sanglante en Syrie s’est nourrie des rivalités entre l’Iran, principal soutien de Bachar El Assad, les Etats-Unis et leurs alliés respectifs. Mais la dernière attaque chimique a changé la donne et leurs discours: le nouveau président iranien, plus modéré, a condamné l’utilisation des gaz et Obama a annoncé être prêt à travailler avec "tout le monde" pour résoudre le conflit. Interpellons ces deux dirigeants pour qu’ils s’installent enfin à la table des négociations et fassent dialoguer les parties belligérantes avant que d’autres vies ne soient prises. lire la suite

Association Enfance France-Syrie

Cette association a pour but: apporter une aide humanitaire aux enfants de Syrie victimes directes ou indirectes des évènements, sous quelque forme que ce soit (alimentaire, médicale, financière, etc.) sans aucun parti pris, dans une conception laïque et pacifique.

cliquer ici Retrouver l'Association Enfance France-Syrie sur Facebook cliquer ici

Michel Collon : après la Syrie c'est nous voir la vidéo

syrie-israel-2e5f2 La Syrie se trouve sur la plus colossale plaque de réserve de gaz du monde cliquer ici

 

Arrêtez de vous traiter de «Munichois»!

La référence aux évènements de 1938 dans le cadre du conflit syrien témoigne d'une méconnaissance des faits historiques de l'époque, pour l’affaire de Syrie, la comparaison avec Munich ne tient guère. cliquer ici

Des soldats américains partagent leur prise de conscience voir la vidéo

Les Occidentaux doivent-ils intervenir militairement en Syrie ? Oui 20.45% Non 79.55%

A MM. Fabius et Hollande : soumettez la guerre contre la Syrie au vote du Parlement lire la suite

La lettre de Pierre Charasse ancien amabassadeur de France à François Hollande

A déguster lentement et délicatement pour en savourer  les effluves de mordant, de causticité, d'ironie, de dérision... et surtout de lucidité. cliquer ici

Rétablir la souveraineté populaire cliquer ici

Edgar Morin, Château d'Orion, 2008Edgar Morin : une vision intégrale de l'évolution voir la vidéo

L'alarme d'Edgar Morin par Edwy Plenel

"voici un gouvernement d’hommes qui se sont laissés encercler par les intérêts dominants, qui n’ont pas pu les surmonter, qui n’ont pas été assez déterminés." cliquer ici

Le capitalisme nous entraîne-t-il dans une logique de guerre ?

Par Patrick Viveret cliquer ici

Partage des rôles entre l'usager et l'administration dans la production du service public

Partage des rôles entre l’usager et l’administration dans la production du service public

Carine Baillie • Service public 2.0, co-production citoyenne et bénévolat
http://www.institut-entreprise.fr/index.php?id=1711

Face à un système administratif à bout de souffle et des dépenses publiques sous contraintes, la première note, « Service public 2.0 », propose un modèle alternatif, fondé sur le partage des rôles entre l’usager et l’administration dans la production du service public. Dans ce modèle, le citoyen n’est plus le simple consommateur du service, mais son co-producteur, devenant par la même occasion co-responsable de l’intérêt général. L’administration est davantage conçue comme une « plateforme » qui rend possible les initiatives individuelles et collectives. S’appuyant sur des expériences concrètes menées en France et à l’étranger, ainsi que sur les possibilités ouvertes par les nouvelles technologies, Elisabeth Lulin montre comment ce qui relevait autrefois de l’utopie participative est aujourd’hui devenu une stratégie de réinvention du service public dans de nombreux pays et de nombreux secteurs de l’action publique. Elle explore les conditions nécessaires à l’avènement d’un tel modèle en France : cartographie des besoins et opportunités d’implication des usagers, organisation de l’administration « as a platform » , création de mécanismes de confiance et d’incitation. Enfin elle esquisse quelques pistes pour faciliter l’amorçage d’un mouvement en ce sens : faire la pédagogie des pratiques participatives auprès des citoyens et de l’administration, standardiser les outils informatiques permettant la coopération, définir un cadre juridique adéquat, et enfin disséminer les « bonnes pratiques ».
D’après France Bénévolat (« La situation du bénévolat en France en 2013 »), 40 % de la population française serait investie dans des actions bénévoles. Les bénévoles sont plus de 12 millions et demi en association, 4,2 millions dans une autre organisation (syndicale, politique ou religieuse), tandis que 9,7 millions pratiquent un bénévolat direct de proximité. C’est ce dernier type de bénévolat – le plus pertinent dans notre cas – qui augmente le plus fortement (+31% de 2010 à 2013).

http://www.institut-entreprise.fr/fileadmin/Docs_PDF/travaux_reflexions/nouveaux_enjeux_nouveaux_modeles/DS_service_public-VF.pdf

 

Carine Baillie • Sur le plan des idées et des doctrines, la co-production trouve des racines aussi bien à gauche qu’à droite : à gauche avec les utopies autogestionnaires, à droite avec les utopies libertariennes – d’un côté, dans le sillage de Pierre Joseph Proudhon, redonner le pouvoir au peuple, ouvrier ou citoyen, de l’autre, après Friedrich Hayek, limiter l’emprise de l’État sur l’économie et la société.

Mais ce qui a changé aujourd’hui, c’est que l’évolution des esprits, des comportements et des technologies rend ces utopies réalisables.

On observe tout d’abord des expérimentations nombreuses, ambitieuses et probantes dans les pays les plus variés et dans les domaines les plus divers de l’action publique : il y a maints exemples en matière de gestion urbaine avec des initiatives telles que Citizen Connect (cadastre collaboratif numérisé) ou StreetBump (inspection collaborative des chaussées) menées par la ville de Boston aux Etats-Unis, ou encore, des cas de co-production du service de santé par les patients, leur entourage et les professionnels de santé avec People Powered Health, expérimentation conduite dans six municipalités britanniques à l’initiative de Nesta et en partenariat avec les autorités locales.

Nous assistons par ailleurs en France, depuis une vingtaine d’années, à un changement profond, survenu très progressivement et sans grand bruit, de la conception des relations entre le service public et ses usagers. Peu à peu, le service public n’est plus tout à fait un dû ; il devient la contrepartie d’un effort particulier demandé à l’usager. La première mesure forte en ce sens a été la création du revenu minimum d’insertion en 1989, où pour la première fois, une prestation sociale était due sous réserve d’un effort d’insertion du bénéficiaire. Depuis lors, du tri sélectif au remboursement des soins sous condition de passage par un médecin référent, de plus en plus nombreux sont les domaines où nous n’accédons pleinement au service qu’à condition d’avoir accompli notre part. Enfin, le développement phénoménal depuis une dizaine d’années de l’économie du partage a créé des habitudes et des modèles organisationnels inédits sur lesquels l’implication citoyenne pourrait désormais s’appuyer.

Tous ces facteurs font que l’utopie du service public participatif est aujourd’hui à portée de main.

Il y a trois grandes séries d’initiatives à prendre :

Il faut commencer par recenser les « capacités disponibles ».

Il s’agit ensuite de repenser l’organisation de l’administration publique comme une plate-forme dont le but n’est pas de délivrer l’intégralité du service, mais de catalyser les contributions multiples des tiers (usagers, citoyens, associations, etc) pour que le service soit construit conjointement.

Le service public participatif ne fonctionne qu’à condition de s’appuyer sur la bonne volonté des citoyens/usagers, prêts à apporter leur contribution. La troisième série d’initiatives à prendre pour favoriser un modèle 2.0 consiste donc à susciter cet esprit de contribution.

http://www.institut-entreprise.fr/index.php?id=1710

les Occidentaux doivent-ils intervenir militairement en Syrie?

Les Occidentaux doivent-ils intervenir militairement en Syrie ?

Oui 20.45% Non 79.55%

Nigel Farage fustige les va-t-en guerre européens cliquer ici 

M. le président de la République française: Syrie : NON À UNE INTERVENTION MILITAIRE FRANÇAISE cliquer ici

Refuser l'intervention militaire en Syrie

Pourquoi c'est important La situation syrienne est hautement préoccupante. Le conflit qui se tient en Syrie entre le gouvernement de Bachar El-Assad, soutenu par la Russie et la Chine , et de "l’armée syrienne libre" , soutenu par l'UE et les États-Unis, pourrait dégénérer en un conflit mondial. pour signer la pétition

A MM. Fabius et Hollande : soumettez la guerre contre la Syrie au vote du Parlement

Lettre ouverte à MM. les députés de l'Assemblée Nationale. Droits de reproduction et de diffusion à tous vos députés libres et même recommandés par l'auteur. cliquer ici 

A quoi sert le Parlement ?

samedi 31 août 2013
par  André Bellon

Le vote du parlement anglais contre l’entrée en guerre du Royaume-Uni en Syrie a, fort heureusement, rappelé à tous les excités des interventions militaires qu’en démocratie, les représentants du peuple doivent donner leur aval aux grandes décisions politiques.

En France, on évoque tout au plus la possibilité d’un débat sans vote sur cette question. Cela n’est pas nouveau. Le Parlement n’avait, par exemple, pas été consulté sur l’entrée en guerre au Kosovo. Dérive d’un système qui s’éloigne de la démocratie ? Certes, mais aussi développement d’un jeu politique qui laisse la décision publique s’élaborer dans le secret, dans les affirmations sans contestation, dans le pouvoir de cénacles plus ou moins obscurs. Exprimez vous

Intervention en Syrie : le Parlement français n'a pas son mot à dire

Conformément à la Constitution française, le président de la République est le chef des Armées. En tant que tel, ce dernier a le pouvoir d'intervenir en Syrie sans solliciter le consentement des parlementaires français. lire la suite


L'article 35 de la Constitution de la Ve République française cliquer ici

La dictature de la France

Les dirigeants français ont donné le droit de vote à leur peuple mais les ont privé du choix c'est là toute la subtilité de la démocratie. Celle-ci s'appuie sur un puissant réseau médiatique chargé de faire l'opinion et de la manipuler, les puissants des partis concurrents se retrouvent dans les mêmes salons de réflexion et clubs pour décider de la marche politique de leur démocratie. lire la suite

 

HISTOIRE CONSTITUTIONNELLE DE LA FRANCE

La difficile instauration du régime parlementaire en France
(de la Restauration à la IVème République) : lire la suite


En savoir plus sur la décentralisation cliquer ici

Une campagne de soutien au Referendum d'Initiative Citoyenne s'est mise en place à l'occasion du projet de loi 1248 déposée par Nicolas Dupont Aignan.

Le RIC est un pas nécessaire vers une démocratie plus participative. On en entend parler depuis longtemps, elle s'introduit à tous petits pas timides, une nouvelle avancée ne serait pas de trop. lire la suite

Mettre en oeuvre une Assemblée Constituante cliquer ici

Syrie: le Premier ministre recevra lundi les parlementaire

Aucun vote prévu
Si quelques appels en ce sens ont été lancés jusque dans les rangs de la majorité, l'exécutif semblait dimanche matin peu enclin à organiser ce vote des parlementaires.
Mme Guigou a expliqué qu'au terme de la Constitution de la Ve République, le chef de l'Etat et chef des armées détient "la responsabilité de décider" et peut se passer de l'accord du Parlement pour engager les forces armées à l'étranger. "Il le peut absolument, c'est la lettre et l'esprit de la Constitution", a dit l'ancienne ministre.
http://news.fr.msn.com/m6-actualite/politique/syrie-le-premier-ministre-recevra-lundi-les-parlementaires

Syrie : La France manipulée Nicolas Dupont Aignan

Il est des instants où l’Histoire s’accélère de façon vertigineuse. Depuis quelques heures, tout porte à croire qu’une intervention occidentale dans la guerre civile en Syrie est imminente. François Hollande est sur le point d’engager notre pays dans une aventure des plus hasardeuses.

Voir la suite http://www.gaullisme.fr/

« La France n’a pas intérêt à entrer dans une guerre de religion » Jean-Pierre Chevènement

J’ai toujours été inquiet au sujet de la Syrie. J’avais d’ailleurs exprimé ma préoccupation à François Hollande et à Laurent Fabius dès le mois de juin 2012 quant à la définition de notre politique. Selon moi, il eût mieux valu privilégier une posture de négociation et faire de la France un intermédiaire entre les camps qui s’opposent dans ce qui est une véritable guerre civile intercommunautaire avec, à l’arrière-plan, une rivalité entre sunnites et chiites. Je ne pense pas que la France ait intérêt à entrer dans une guerre de religion.

Syrie : si l’erreur est humaine, la persévérance est diabolique Par Dominique Jamet, journaliste et écrivain

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Sans mandat de l’ONU, cavalier seul au sein de l’Union européenne, sans l’aval du Parlement, ignorant superbement l’avis contraire de la majorité des Français (64 % aux dernières nouvelles), François Hollande maintient donc sa décision de coller aux basques de l’Oncle Sam en se lançant et en nous lançant aveuglément dans une opération absurde que nous n’oserions pas mener sans les États-Unis, et que les États-Unis pourraient parfaitement mener sans nous. Plaisant attelage que celui de l’éléphant et de la mouche du coche !

Syrie : Ils dénoncent l’action militaire envisagée

Dans un communiqué à l’AFP, l’ancien Premier ministre Dominique de Villepin a mis en garde mercredi contre une intervention militaire française en Syrie, lui préférant une solution humanitaire.
« Je ne crois pas que l’outil militaire, le raccourci militaire soit la solution idoine dans des crises complexes », a jugé l’ex-locataire de Matignon sur BFMTV.

« Quel est le sens d’une action menée par des pays européens, ou par des pays occidentaux si cette action est menée en dehors de la légalité internationale, en dehors même d’un objectif d’efficacité, uniquement avec le souci de soulager notre mauvaise conscience ? », a-t-il dénoncé.

« Est-ce qu’une frappe même ciblée et même limitée va améliorer le sort des populations de la Syrie ? », a-t-il demandé, avant d’ajouter : « Non ».

« Au contraire, des frappes militaires nous éloigneraient d’un règlement politique, diplomatique, et n’apporteraient en aucune façon une amélioration du sort des populations », a estimé celui qui orchestra le « non » de la France à l’ONU contre la guerre en Irak en 2003.

Pour l’ancien Premier ministre, la solution doit être humanitaire, afin d’ »assumer cette responsabilité de protéger ».

« Je préfère utiliser dans un milieu complexe des moyens humanitaires même s’ils sont parfois risqués plutôt que des moyens militaires qui en l’occurrence sont aveugles et sont sans garantie aucune de stabilité pour le futur », a-t-il affirmé.
Ces solutions pourraient passer notamment par la mise en place d’une « zone d’exclusion aérienne », qui « permettrait d’adresser un signal très fort de notre détermination et permettrait par ailleurs d’enclencher à nouveau un processus de dialogue de négociation avec les Russes, avec la Chine, avec l’ensemble des pays de la communauté internationale », a-t-il plaidé.

Il a proposé aussi l’instauration de « zones-tampon » pour « que l’aide humanitaire apportée par l’Occident, qui est infiniment trop faible, puisse être apportée » aux réfugiés dans la région.

« Il y a la possibilité d’utiliser des corridors humanitaires », a-t-il poursuivi, reconnaissant la difficulté de recourir à cette solution car elle nécessite l’envoi de troupes au sol.

« Aujourd’hui frapper c’est quoi ? Ça veut dire viser » des installations militaires, des bâtiments. Mais « que ferons-nous le lendemain si rien ne change ?». « Je ne crois pas qu’on puisse décider d’une stratégie militaire sans avoir une vision politique », a dit M. de Villepin.

« Depuis un peu plus d’une décennie », il y a « une militarisation des esprits dans nos démocraties occidentales ». « On part du principe », a-t-il dit, « que la réponse face à ce type de catastrophe doit être à peu près systématiquement une réponse militaire ». « Je ne le crois pas », a conclu M. de Villepin qui s’était déclaré opposé à l’intervention française au Mali en janvier 2013.

POUR UNE SOLUTION PACIFIQUE EN SYRIE

Communiqué du Bureau du Mouvement politique d’émancipation populaire (M’PEP).

Des armes chimiques (gaz toxiques) auraient été utilisées le 21 août à Damas, et auraient provoqué, selon l’opposition syrienne, la mort d’un millier de personnes. Nul ne sait à ce jour quels sont les auteurs de ces actes barbares. Les deux camps qui s’opposent en Syrie ont largement démontré qu’ils étaient capables des pires atrocités : le régime dictatorial de Bachar el-Assad comme les groupes criminels islamo-fascistes qui dominent désormais la rébellion. Les deux camps se renvoient la responsabilité de ces meurtres. Les Occidentaux accusent Damas, les Russes accusent la rébellion. Le précédent de la manipulation du gouvernement des Etats-Unis d’Amérique à propos des armes de destruction massives soi-disant détenues par l’Irak, pour justifier d’une intervention militaire, doit inciter à la plus grande prudence.

La première chose à faire consiste à protéger les populations. Il s’agit, d’abord, des populations victimes des combats et qui manquent de tout : eau, alimentation, médicaments, médecins… il s’agit aussi des centaines de milliers de réfugiés syriens parqués dans des camps au Liban, en Jordanie, en Irak, en Turquie. Eux aussi sont totalement démunis et ont besoin d’une aide immédiate.

C’est à cet effort urgent que devrait se consacrer la communauté internationale. Elle devrait obtenir des belligérants l’ouverture de « couloirs humanitaires », terrestres et aériens, afin de faire parvenir aux populations ce dont elles ont besoin.

Au lieu de s’atteler sans plus attendre à cette tâche humanitaire, les grands pays occidentaux comme la France et la Grande-Bretagne, dans le sillage des États-Unis d’Amérique, veulent s’engager dans une nouvelle opération guerrière. Ils témoignent ainsi de leur mépris vis-à-vis des souffrances du peuple syrien qui est ainsi transformé en otage des manœuvres géostratégiques occidentales.

Le M’PEP se joint à tous ceux qui exigent une solution pacifique et politique au conflit dans le respect de la souveraineté du peuple syrien. En effet l’histoire l’a constamment démontré : supprimer le souveraineté nationale d’un pays ne donne rien de bon sur le moyen et long terme.

Syrie: Bayrou «lance un appel pressant à la prudence»

 

François Bayrou, président du MoDem, a lancé mardi «un «appel pressant à la prudence» avant une «décision» concernant une intervention occidentale en Syrie.

«Au point où nous en sommes dans l’affaire syrienne – ce qui semble se développer comme une mécanique implacable – je voudrais lancer un appel pressant à la prudence», a affirmé le dirigeant centriste sur RMC.

Un projet de frappe militaire du régime Assad semblait se préciser à Washington, Londres ou Paris, en représailles contre une attaque «indéniablement» à l’arme chimique – selon le terme du secrétaire d’Etat américain John Kerry – qui aurait fait un millier de morts en Syrie mercredi.

«Qu’est-ce qu’il en est des faits?», s’est d’abord interrogé l’ancien député des Pyrénées-Atlantiques, préconisant d’«attendre des preuves certaines» du caractère chimique de l’attaque, et la certitude qu’elle a bien été commanditée par le régime de Damas.

«Il y a beaucoup de manipulations dans ces guerres civiles et donc je voudrais qu’on attende le rapport de l’ONU», a-t-il avancé.

«Deuxième appel à la prudence» : «quelles vont être les conséquences à long terme» d’une «intervention armée» ?, a demandé l’ex-candidat à l’Elysée, qui rappelle avoir soutenu «de toutes (ses) forces» à la fois l’intervention au Mali en janvier 2013 et le refus français d’entrer en guerre en Irak en 2003.

Quels vont être les effets «sur la pauvre Syrie»? , a-t-il poursuivi, rappelant la «dimension communautaire» du conflit, avec un «double affrontement historique», entre «les sunnites et les chiites» et «entre l’Iran et en particulier Israël».

A supposer qu’on réussisse» à «mettre à genoux le régime actuel, qu’est-ce qui vient derrière ce régime et notamment quelles sont les conséquences sur les minorités ?», en particulier «chrétiennes», et sur le Liban, a-t-il encore demandé.

«Nous avons, nous Français, une responsabilité particulière au Liban», a estimé M. Bayrou.

Selon lui, il convient donc de se demander : «est-ce que c’est notre guerre, est-ce que c’est notre conflit, est-ce que c’est notre responsabilité ?»

«Je demande qu’on réfléchisse bien aux risques géopolitiques, aux risques à l’échelle de toute une région du monde», et » peut-être à l’échelle des siècles», a-t-il averti.

«On est pris dans un mouvement qui, à certains moments, rappelle la préparation de la guerre en Irak» en 2003, a-t-il conclu.

Attaque à l’arme chimique en Syrie ?

Devant toute cette agitation anti-Bachar, nous avons assisté coup-sur-coup à la découverte par l’armée syrienne de tunnels appartenant aux rebelles, possédant des matières premières pour la fabrication de bombes chimiques, des masques à gaz et des antidotes. La Russie, quant à elle, a délivré au Conseil de Sécurité de l’ONU des images satellitaires montrant que les deux missiles avaient été tirés à partir de zones sous contrôle des rebelles cliquer ici

Retraite : quatre mesures lâches pour retarder la réforme

LE BILLET DE SAUVEGARDE RETRAITES
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Retraites : quatre mesures lâches pour retarder la réforme

Pour éviter de toucher aux avantages des fonctionnaires et de réformer le système, le gouvernement préconise quatre mesures. C'est bien simple, dans le privé, tout le monde est perdant ! Jugez-en vous-même :

  • Un défaut partiel de paiement, avec le report de la revalorisation des pensions du 1er avril au 1er octobre. Ce type d'ajournement des dépenses est caractéristique des entreprises en faillite ! Pour mémoire, le régime de base des salariés du privé (Cnav) avait déjà eu recours au même expédient en reportant la revalorisation des pensions du 1er janvier au 1er avril. Cette fois, le décalage concerne aussi bien les retraites de base que les complémentaires. Le gouvernement en escompte une "économie" de 1,4 milliard d'euros, qui sera réalisée sur le dos des retraités...
  • Une baisse des revenus des retraités par le biais de la fiscalisation intégrale de la majoration de pension (10 %) dont bénéficient les retraités qui ont élevé trois enfants ou plus et qui sera désormais soumise à l'impôt sur le revenu. La mesure est d'autant plus absurde et injuste que les familles nombreuses contribuent plus que les autres au fonctionnement du sacro-saint système par répartition...
  • Une baisse des salaires, sous l'effet d'une augmentation de l'augmentation des cotisations. La nouvelle hausse, de 0,6 %, vient en effet s'ajouter à la précédente, décidée en 2012 et qui s'étale jusqu'en 2017. Comme dans un système "Madoff", les actifs sont de plus en plus pressurés pour financer les retraites, avec la promesse de profiter eux aussi du système quand viendra leur tour... mais sans aucune garantie. Les bernés, comptez-vous !
  • Plus de travail pour gagner moins : la durée de cotisation est allongée de 41 ans aujourd'hui jusqu'à 43 ans en 2035... ce qui n'a rien à voir, paraît-il, avec un allongement de la durée du travail ! Décote oblige, les Français devront pourtant travailler plus longtemps s'ils veulent partir avec une pension non diminuée.

Le pire c'est qu'en dépit de ces sacrifices, le compte n'y est pas. Les rentrées escomptées (7 milliards d'euros) ne couvriront que le tiers des 20 milliards de déficit en 2020 annoncés par le Conseil d'Orientation des retraites (encore ce chiffre a-t-il été sous-estimé par le COR pour répondre aux voeux des politiques).

Nous aurons donc droit à une nouvelle réforme des retraites d'ici peu de temps... ou bien le système fera faillite en entraînant dans son naufrage la masse des retraités.

La non-réforme des socialistes ne fait en somme que des perdants..., ou presque : les fonctionnaires, eux, conservent intouchés leurs privilèges, ce dont se félicitent leurs syndicats.

Bien cordialement

Marie-Laure Dufrêche
Déléguée Générale

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