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L'image d'une nation qui gagne au football ne donnera pas des revenus pour tous

L'économie n'est pas un jeu pour gagnant elle doit devenir juste et équitable pour ne pas se transformer en dette publique . Les assistés ne sont pas les pauvres dans une société en effondrement spirituel , social , écologique , économique mais ceux qui en veulent toujours plus en oubliant de s'engager dans les biens communs.

L'illusion de la bulle économique Coupe du Monde de football

Coupe du monde : La victoire des Bleus va faire frémir l’économie française… rien de plus

Par Ludovic Dupin

Le boulet de canon de Paul Pogba, le coup franc d’Antoine Griezmann, l’arrêt magique de Hugo Lloris… Est-ce que chacun de ces mouvements va ajouter quelques milliards d’euros au PIB tricolore ? Si un effet existe, il est marginal, assurent les économistes. Bruno Le Maire, lui, y croit.

C’est presque une légende urbaine. La victoire de l’équipe nationale de football lors d’une Coupe du Monde aurait un effet très positif sur l’économie. S’il y a bien un gain de popularité du Président (comme l’avait connu Jacques Chirac en 1998) et un impact sur le moral des foyers, l’effet économique reste à prouver.

Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, veut y croire. Il l’assure : "C'est bon pour la croissance". Avant de justifier : "La croissance économique, ça repose sur de la confiance et une victoire en Coupe du monde, ça donne de la confiance en soi aux Français (…) il y a une part d’irrationnel dans l’économie". Suite

Coupe du monde : les arènes et gladiateurs du XXIème siècle

Du pain et des jeux dans les arènes contemporaines de la Coupe du monde de foot.

Par Patrick Aulnas.

Les constantes du gouvernement des hommes traversent les civilisations et les millénaires. On le sait, mais cela reste malgré tout un sujet d’étonnement. Le peuple de France tout entier se mobilise autour de la finale de la Coupe du  monde de football. Le pouvoir politique ne peut se dispenser d’adhérer à cet enthousiasme. Macron sera présent dans la tribune du stade de Saint-Pétersbourg comme César dans sa tribune des arènes de Rome. L’impopularité des politiciens peut-elle être atténuée par la popularité des stars du foot ? Provisoirement sans doute. Mais dans quelques mois, l’engouement aura disparu et les dures réalités du pouvoir subsisteront. Lire la suite

Une pétition pour "obliger la Française des jeux à recycler ses tickets perdants"

L’idée de ce prof d’économie dont le discours est en permanence teinté d’écologie sur les bancs de la majorité municipale c’est d’inciter la FDJ à être responsable des millions de tickets de jeux à gratter perdants «qui jonchent nos trottoirs et remplissent nos poubelles.» «Actuellement, la FDJ insiste sur son rôle responsable dans la protection de l’environnement, en invitant les joueurs à recycler leurs tickets de grattage... Un peu court, non?», s’étonne Pascal Monier.

L’idée de ce prof d’économie dont le discours est en permanence teinté d’écologie sur les bancs de la majorité municipale c’est d’inciter la FDJ à être responsable des millions de tickets de jeux à gratter perdants «qui jonchent nos trottoirs et remplissent nos poubelles.» «Actuellement, la FDJ insiste sur son rôle responsable dans la protection de l’environnement, en invitant les joueurs à recycler leurs tickets de grattage... Un peu court, non?», s’étonne Pascal Monier.  lire la suite

L'illusion d'une bulle économique Football et celle plus ouverte d'une économie s'appuyant sur la base solide des biens communs.

L'équipe de Football a gagné la coupe du Monde bravo à son entraîneur et aux joueurs . Bien entendu le football n'est pas la solution pour donner un revenu à chacun ce que les biens communs anticipant l'effondrement social, écologique et économique  peuvent permettre . L'effondrement que nous vivons tous peut dans une société équitable évolutive éviter que les bénévoles pour un travail collectif deviennent la seule issue alors que d'autres gagnent des revenus considérables parce qu'ils sont des élites de l'image illusoire d'une nation gagnante ….Si nous voulons transformer un système basé sur "la gagne" manipulé par les sponsors des grandes multinationales distribuant des revenus inconsidérés pour les uns il ne suffit pas d'être "contre' il faut devenir "pour "s'engager avec tous les autres à construire une économie capable de s'en libérer. C'est en favorisant une coopération capable de multiplier des travaux rémunérés qu'une autre société équitable constructive émergera de l'effondrement que nous vivons tous mais qui n'effleure pas encore la conscience suffisante à construire une économie libérée de la dette ...

Voir L’esclavage de la dette et l’esclavage pour dette

Par Hubert de Vauplane

Depuis la crise financière de 2008, il existe toute une littérature comparant la situation des surendettés (que ce soit des Etats ou des individus) à de l’esclavage pour dette : ainsi, la dette ne serait pas d’abord une affaire comptable, une relation économique, mais un rapport politique d’assujettissement et d’asservissement. Elle deviendrait infinie, inexpiable, impayable, et servirait à discipliner les populations, à imposer des réformes structurelles, à justifier des tours de vis autoritaires, voire à suspendre la démocratie au profit de « gouvernements techniques » subordonnés aux intérêts du capital[1]. Dès lors, toute dette ne pourrait être qu’injuste. C’est notamment à la suite de la crise des dettes publiques européennes, et en particulier de la dette grecque, que des voix se sont élevées contre l’asservissement des citoyens grecs (ou autres) envers les créanciers pendant plusieurs générations, au point de comparer ceux-ci à des esclaves dans la mesure où le travail des générations présentes et futures de ces pays endettées n’a d’autre but que de rembourser les créanciers de ces pays. Et de qualifier ces pays comme de néo-colonies des créanciers en ce qu’ils auraient perdus toute souveraineté dans leur gestion, en particulier budgétaire. Lire la suite

Subventions : ces associations extrêmes que vous financez malgré vous

Par Bill Wirtz.

Chaque année votre argent de contribuable sert à financer des associations hautement politisées. La liste risque de vous énerver…

Une partie importante de la population européenne serait très réticente à donner à des causes antithétiques à leurs croyances. Cela a poussé de nombreux acteurs non-gouvernementaux à paraître relativement neutres aux yeux du public. L’Union Européenne, cependant, soutient financièrement des organisations qui font activement du lobbying à Bruxelles.

Afin d’illustrer ce point, examinons quelques exemples d’ONG hautement politiques qui bénéficient de subventions de l’UE. lire la suite

Comment les subventions à l'énergie " verte " transfèrent la richesse aux riches

Nicolas Loris
18/07/2018
Version originale

Lorsque les Golden State Warriors, qui ont remporté trois des quatre derniers championnats de la NBA, ont signé les All-Star Demarcus Cousins, les experts du sport à travers le pays ont offert la même opinion : Les riches viennent de s'enrichir.

À bien des égards, il en va de même pour les subventions à l'énergie.
Les programmes fédéraux en matière d'énergie promettent des objectifs politiques ambigus tels que l'atténuation des changements climatiques, la stimulation de l'innovation ou la réduction de la dépendance à l'égard des sources d'énergie étrangères. Mais elles mènent souvent à des situations qui aident les riches aux dépens des Américains à revenu moyen ou faible. C'est parce que lorsque le gouvernement fédéral s'engage dans le secteur de l'énergie, il transfère des milliards de dollars à la production et à la consommation de sources et de technologies politiquement préférées - et beaucoup d'entre elles impliquent que les pauvres transfèrent de l'argent aux riches.
Par exemple, une étude récente de l'Institut de recherche du Pacifique a révélé que plus de 99 % des subventions pour les véhicules électriques vont aux ménages dont le revenu est de 50 000 $ ou plus, et près des trois quarts vont aux ménages dont le revenu annuel est de 100 000 $ ou plus. Voir la suite

Un tiers des dirigeants du CAC 40 sont issus de la sphère publique

Par Laurie Debove
18 juillet 2018 

Face à cette imbrication publique/privée de plus en plus forte, que devient réellement le rôle de régulation de l’Etat ? Est-il encore en mesure de faire respecter les intérêts publics et d’encadrer les comportements des multinationales ? lire la suite

Théorie de l'effondrement : Édouard Philippe se dit "obsédé" par la question

Jamais cette hypothèse n'avait été aussi clairement envisagée à ce niveau de l'État. C'est désormais chose faite et c'est tant mieux.

Par Axel Leclercq

Le temps ayant fait son œuvre, la question n’est plus seulement de savoir si l’homme parviendra à épargner les arbres, les ours polaires et les oiseaux, mais de savoir si notre civilisation saura sauver sa peau. D’ailleurs, il y a fort à parier que cette question, effrayante mais essentielle, va enfin occuper tout l’espace public. Pour preuve, même Édouard Philippe, premier ministre de notre pays, l’a officiellement posée hier, lors d’un échange diffusé en direct sur les réseaux sociaux. Une réflexion inattendue qui, bonne nouvelle, donne enfin la mesure de ce qui se joue aujourd’hui. Lire la suite

Plus on est riche, moins on a de morale. C'est la science qui le dit.

En 2012, des chercheurs américains mettaient en évidence le lien entre statut social élevé et capacité à enfreindre les règles. Des expériences sans appel.

Par Axel Leclercq

Vous avez l’impression que l’argent corrompt ? Eh bien la science vous donne raison. Dans un article publié en février 2012, le journal Le Monde, rapportait des expériences saisissantes prouvant pour résumer que, plus on est riche, moins on a de morale ! Explications.

Si Édouard Philippe, premier ministre de notre pays est préoccupé par la dette Il est indispensable qu'il s'engage avec la réflexion coopérative citoyenne pour proposer des solutions durables tout en abandonnant que la réussite sociale se résume à devenir gagnant et riche lire la suite

Rien n'est plus solide qu'une économie basée sur un réseau de producteurs , de distributeurs et de consommateurs réunis et engagés dans la vie réelle des biens communs en faisant face à l'effondrement . La qualité alimentaire peut découler d' un fondement qui allie les 3 piliers du développement durable : social-écologie et économie sans en effacer un seul.

La plate-forme Biocoop pleinement active

La dépêche du midi

100 % active depuis le 11 juin, la plate-forme emblématique du développement du bio dans le Sud-Ouest, située dans ZAE de la Confluence, a été inaugurée officiellement mardi dernier, en présence de Claude Gruffat, président du groupement coopératif Biocoop, de Michel Masset, maire de Damazan, de Raymond Girardi, vice-président du conseil départemental, et d'une centaine de personnes. Représentant une surface au sol de 22 000 m², l''ensemble du bâtiment s'inscrit dans le respect de normes de construction visant une certification HQE de niveau «Excellent» en cohérence avec les valeurs environnementales que porte Biocoop et avec son programme de développement de la RSE. La visite guidée par le directeur du site, Mounir El Aouni, permit d'apprécier la fonctionnalité et le confort des locaux flambant neufs. 2500 m² sont consacrés aux bureaux et locaux sociaux. Le bâtiment de stockage se compose de 3 parties de 6000 m², ainsi que d'un local de charge pour une flotte de 100 chariots électriques. Le président Claude Gruffat présenta ensuite le groupement Biocoop, dont la finalité du projet est une proposition véritablement politique à la société civile pour une transition alimentaire responsable, une transition de qualité nutritionnelle et une transition écologique. Voir la suite 

Lien en Pays d'OC soutient le réseau Biocoop-

Pourquoi soutenir le réseau Biocoop pour entreprendre autrement ?

Soutenir le réseau Biocoop fondé par de réels entrepreneurs économiques permet un réel accompagnement aux porteurs de projets . Lorsque les échecs sont répétés dans nos villages dans des créations de commerce , les personnes qui n'ont plus leurs activités rejoignent la liste des demandeurs d'emplois ou tentent de nouvelles aventures entrepreneuriales isolées toujours accompagnées par les mêmes instances incompétentes qui seules perdurent durablement dans nos ruralités.  La disparition des entreprises, des commerces  ne peut être résolue que par les compétences de réseaux coopératifs respectant une  logique cohérente telle que celle des "Biocoop"

Entreprendre autrement avec Biocoop-Créer mon magasin Biocoop voir la suite

Biocoop, acteur historique du commerce équitable voir la suite 

Soigner l’Homme, Sauver la Terre
La Terre et l’Humanité sont à un moment charnière de leur histoire. 
Chaque être humain sur cette planète, qui est notre bien commun, peut par sa conscience et sa responsabilité accompagner la Terre et l’Humanité vers une
évolution positive.
Les maladies chroniques et toxiques, l’autisme, la pollution, la disparition des espèces, la déforestation, les scandales alimentaires… nous montrent à quel point la santé de l’être humain est intimement liée à la santé de la planète.
Ces éléments sont surtout présents depuis les trente dernières années et si rien ne change dans les trente prochaines, l’humanité pourrait aller irréversiblement vers son extinction. 
Ce congrès
Soigner l’Homme, Sauver la Terre a réuni différentes personnalités qui œuvrent, chacune dans leurs domaines de compétence, pour un réel équilibre écologique entre l’être humain et la planète.

14 conférences avec la participation de : Annick de SOUZENELLE - Dr Vandana SHIVA - Isabelle FILLIOZAT - Dr Jean-Louis ETIENNE - Bertrand VERGELY - Pr Barbara DEMENEIX - Dr Nicole DELEPINE - Marianne SEBASTIEN - Raphaël COLICCI - Philippe DAUTAIS - Dr Guy LONDECHAMP - Susan GEORGE - Pr Gilles-Eric SERALINI - Dr Olivier SOULIER Voir la suite 

Les catastrophes planétaires qui nous arrivent
À Bombay, la mer vomit les déchets des humains à la tonne

Courrier international - Paris

La conjonction de fortes marées et de pluies diluviennes provoque le retour sur les terres d’une quantité impressionnante d’ordures que la ville envoie d’ordinaire dans la mer.

Le phénomène est d’une ampleur telle que les habitants de Bombay ont cessé de compter. Les pluies diluviennes de la mousson – depuis début juin il est tombé 1 817 mm, soit 72 % de la moyenne annuelle –, ajoutées aux coefficients de marée les plus élevés de la saison, font revenir sur le littoral de la capitale économique de l’Inde des tonnes de déchets essentiellement plastiques depuis le 13 juillet, comme le montre un reportage diffusé par Zeenews. Voir la suite

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Proposition d'une gouvernance de la société civile intégrant l'éthique et l'équitable dans l'évolution...lire la suite

Des coopérations globales et locales  lire la suite