Vinaora Nivo Slider 3.xVinaora Nivo Slider 3.xVinaora Nivo Slider 3.xVinaora Nivo Slider 3.x

Infos à la Une

site internet montauban

Les biens communs avec la cocontruction d'une économie alimentaire de qualité dans un territoire

Trop de dépenses publiques fait augmenter les impôts et la dette
L’explosion des échelons administratifs ruine la France
Par Marc-Antoine Charguéraud, depuis la Suisse.
A la création d’échelons administratifs comme les régions devrait correspondre la suppression des échelons devenus obsolètes et le regroupement des communes. L’absence de telles mesures ruine la France. Voir la suite

 L'Argus des communes de Contribuables Associés évalue chacune des communes de France sur le critère de la dépense publique par habitant.

Plus la commune est dépensière par rapport à la moyenne des communes de même taille, plus sa note est faible. pour plus de détails, voir la méthodologie à ce lien
Trop de dépenses publiques fait augmenter les impôts et la dette.

"Les dépenses d'aujourd'hui sont les impôts de demain et la dette d'après-demain." Si vous voulez éviter les hausses d'impôts locaux et l'endettement de votre commune, surveillez les dépenses de la municipalité !
L'intercommunalité est parfois l'occasion de dépenser encore plus.
Cet échelon supplémentaire dans le millefeuilles de nos collectivités locales a été mis en place théoriquement pour faire des économies. En réalité, les dépenses des intercommunalités ont tendance à s'ajouter à celles des communes.
Voir  Argus des communes : votre commune est-elle bien gérée   à ce lien

Comptes et budgets de Caylus
Données disponibles: 2011 à 2020
La fiche d’information synthétique présente une partie des comptes et de la situation financière que vous pouvez obtenir en commandant un des rapports sur Caylus.
Les données présentées sont des données en Euro par habitant ce qui permet de comparer Caylus à la moyenne de la strate (classification de la Direction Générale des Collectivités Locales regroupant les communes de taille et de fiscalité similaire). lire la suite

Caylus 82160 conjugue de nombreux avantages pour gérer la commune si elle décide de s’appuyer  sur les 3 piliers du Développement Durable  suite ici

- Ni Département des Sombres Projets –
Voir Jeu de Rôle Magazine à ce lien  
- Ni la Gentrification rurale voir La gentrification rurale, un regard critique sur les évolutions des campagnes françaises suite à ce  lien
 auront les moyens de porter des projets durables ne prenant pas en compte le   Développement Durable de  la commune de Caylus 82160
Qu’est- ce que le Développement Durable ?
Le développement durable est « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs », citation de Mme Gro Harlem Brundtland, Premier Ministre norvégien (1987).
Le développement durable est né avec le concept d’entreprise citoyenne dans les années 1985-90.  
Il s’agit , selon les termes de la déclaration  de madame Brundland du nom de la norvégienne Gro Harlem Brundland dans un rapport à l’ONU en 1987 qui a fait date sur la définition du développement durable devant l’ONU, d’un mode de développement « qui répond aux besoins du présent en incluant les plus pauvres tout en permettant aux générations futures de répondre aux leurs. Le projet politique que sous -tend cette définition repose sur une solidarité intra et inter générationnelle , c’est l’ambition sociale aujourd’hui qui est essentielle , la préservation de l’environnement est une contrainte pour demain. »

Dans Projets à essayer sur Pinterest la diversité et la complémentarité des projets et méthodes à concilier permet de combler la fracture sociale inter-générationnelle voir la suite
Face au pouvoir des multinationales développons un réseau coopératif d'informations
Voici plus de 40 ans que notre réseau informe du projet d’une filière alimentaire concernant producteurs-consommateurs et intermédiaires ( distributeurs -transformateurs )
Voici la dernière information du réseau .
Le soutien apporté à l’agriculture par les États a encouragé des produits nocifs pour la santé et l’environnement, en renforçant les inégalités au niveau mondial
Par La faim expliquée Suite à ce lien
Les gouvernances d’en haut ne s’intéressent pas à l’économie écologique et sociale capable de créer des emplois.
Les emplois donneront un revenu pour chaque travail concernant les biens communs . Pour y parvenir Vous pouvez collaborer à développer un réseau coopératif s’appuyant les pieds sur terre . Voir tableaux et épingles idées à ce lien 

Réduire les coûts et les dépenses publiques est possible en rénovant les services publics et les communes par l'engagement de la société civile avec les principes de la Démocratie Évolutive

1. Une gestion des affaires publiques par la société civile

La Démocratie Évolutive permet à chacun de développer une citoyenneté créative, favorisant l'émergence de nouvelles formes sociales lesquelles deviennent le reflet des aspirations individuelles et collectives, à un moment donné. Ces formes sociales sont évolutives, à la mesure de la mobilité et de la créativité des citoyens.

2. La fin des réformes par le haut

Un mythe tenace empêche la réalisation d'une véritable démocratie. Il s'agit de la croyance que l'on peut réformer par le haut. On attend alors la femme ou l'homme providentiel qui prendra en main les destinnées du pays et apportera les solutions. Cette illusion s'intensifie lors de chaque campagne présidentielle et culmine le jour du vote populaire.

Mais les surlendemains ont toujours un air de « gueule de bois ». Au fond de lui, le citoyen sait que toute réforme par le haut est mission impossible. Mais il s'adonne à ce mirage, faute d'une autre perspective.

Refondre la démocratie c'est se tourner vers le changement qui, en permanence, cherche à prendre corps sur le terrain, là où les citoyens vivent et agissent.

3. Le droit à l'expérimentation  sociétale  En France, comme dans beaucoup d’autres pays dits démocratiques, les transformations doivent passer par le pouvoir exécutif centralisé. Les citoyens qui veulent innover dans le domaine sociétal se heurtent à des obstacles qui deviennent de plus en plus difficiles à surmonter. La plupart des gens voient que nous sommes parvenus à un point de blocage du fonctionnement des institutions. Mais nous constatons une impuissance à débloquer cette situation, quelles que soient les personnes qui se trouvent à la tête de l’exécutif. lire la suite
 

Les biens communs ne peuvent ignorer la cocontruction d'une économie alimentaire de qualité dans un territoire .

En cette période d’effondrement  de nombreuses solutions sont entendues : favoriser les circuits courts, favoriser les producteurs et commerces locaux, mais qu’en est-il de la place des  consommateurs dans ces initiatives pour exprimer leurs besoins existentiels ?

Et si l’information , la mise en relation devenait un bien commun dans les réseaux coopératifs ?

Cuisinier depuis 1967 , je propose un projet de résilience alimentaire avec l’implication de la société civile pour gérer l’espace naturel des territoires.  Parce que nous mangeons toutes et tous , la qualité alimentaire nous concerne .  voir la suite à ce lien

Voir les tableaux et les épingles idées vues plus de 10000 fois ce jour à ce lien ici

 

Et si les « communs » constituaient cette fameuse « troisième voie », sociale et écologique, entre le marché et l’État ?

Qu'est-ce qu'un bien  commun?

Un bien commun est un bien non excluable (ou non excludable ou non exclusif) et rival. On parle aussi parfois de « ressources communes ».

En économie, on peut classer les biens en fonction de 2 critères : la notion de rivalité d’usage entre consommateurs, la consommation d’un bien par un consommateur limitant la capacité des autres à se fournir le même bien, et la notion d’exclusion, qui renvoie à la capacité de s’accaparer un bien en en payant le prix. Un bien commun est alors un bien non excluable (ou non excludable) et rival. . voir la suite

Le Mouvement commun

Le « nous » des causes communes où s’invente concrètement l’espérance, là où nous vivons, là où nous travaillons, dans tous ces lieux où nous faisons déjà route ensemble. Nos savoirs, nos infrastructures, nos richesses ainsi cumulés devraient, s’ils étaient bien utilisés et bien répartis, contribuer largement au bien-être de chacun. Les sciences et les connaissances mises au service de l’intérêt général sont en mesure de nous permettre de résoudre les immenses défis qui nous sont posés. Signez l'appel

A qui faut-il confier nos biens communs ?

On les définit encore sous forme de listes : l’eau potable, les forêts, le patrimoine historique, Internet, ou encore la connaissance universitaire. Des ressources communes qui sont parfois gérées par quelques uns. Faut-il miser sur l’Etat ou sur le marché pour garantir leur meilleure répartition ? A moins qu’il ne faille inventer d’autres modèles ?   écouter l'émission

Quand les grands projets inutiles piétinent l’intérêt général

Réalisé par Sophie Metrich et Julien Milanesi, L’Intérêt général et moi plonge le spectateur dans une réflexion vivante et sensible sur cette notion d’intérêt général.

Qu’est-ce qu’une démocratie au XXIe siècle ? Quelle société organise-t-elle ? Élus, dirigeants politiques nationaux et locaux, militants associatifs, journalistes, fonctionnaires, exposent leurs points de vue et la question interpelle le spectateur lui-même, naturellement. On ressort de ce film l’esprit concerné pour longtemps. Lire la suite

L’entreprise et la fabrique du bien commun

Par LA TAILLE-RIVERO Marthe (de)

En dépit des « œuvres sociales » développées dès le XIXe siècle par des entrepreneurs, taxés plus tard de « paternalisme », il fut longtemps considéré en France que le rôle des entreprises consistait quasi uniquement à faire des profits au bénéfice essentiel de leurs actionnaires, que tout ce qui relevait de l’intérêt collectif était du ressort presque exclusif de l’État. Mais cette répartition des rôles est peut-être en train de voler en éclats sous l’effet d’une multitude de facteurs. D’un côté, l’entreprise ne peut en effet plus ignorer les aspirations de son personnel à œuvrer au profit de finalités ayant un sens, ni les préoccupations de ses clients concernant les aspects éthiques, ni le fait qu’elle-même puise dans le bien commun (les ressources naturelles) et que ses activités peuvent être destructrices d’un écosystème dont la fragilité devient évidente… D’un autre côté, l’État, dont les ressources sont limitées, ne peut pas tout et n’a peut-être pas vocation à être le seul à prétendre incarner le bien commun. Ces observations nous amènent à lancer, sous la conduite de Marthe de La Taille-Rivero, une série d’articles publiés dans plusieurs numéros de Futuribles sur « l’entreprise et la fabrique du bien commun ». lire la suite

Chômage : le conseil d'Emmanuel Macron détourné sur internet

Et si l'État investissait massivement dans la création de nouveaux passages piétons pour combattre le chômage ? Une idée parmi d'autres !

Par Axel Leclercq

- La dernière sortie d’Emmanuel Macron stimule une nouvelle fois l’imagination fertile des internautes les plus créatifs et facétieux. Pour preuve, cette sélection de posts drôles et bien sentis publiés ces dernières vingt-quatre heures sur le web.

À un jeune horticulteur au chômage, le Président de la République a lancé : Du travail ? « Je traverse la rue, je vous en trouve. » Du coup, outre les réactions politiques à cette sorte de mise au défi, beaucoup y sont allés de leur réplique, prenant cette remarque au pied de la lettre. Quelques exemples ici

Bien sûr ce ne sont que des plaisanteries qui prouvent la déconnexion du Pdt E Macron avec la réalité économique des Français (e)s qui ne profitent pas des avantages de la tête au pouvoir. La solution au chômage longue durée est d'éviter le bénévolat destiné au développement des biens communs car ce travail est indispensable face au changement climatique et au développement de la dette publique .

Le chômage est une conséquence d'un manque d'emplois et un emploi est un travail rémunéré ; Mr Macron ne semble pas sensible aux biens communs puisqu'il n'a pas de problème de rémunération .

Les biens communs n'ignorent pas la coconstruction et la gestion d'une économie alimentaire de qualité entre producteurs, consommateurs et distributeurs

Plusieurs exemples qui raccourcissent le système d'exploitation de l'alimentation en consolidant les liens nécessaires pour construire l'économie alimentaire de qualité

Paysans des Baronnies est une association qui rassemble depuis une dizaine d'années des agriculteurs, distributeurs et consommateurs afin de promouvoir la production, la distribution et la consommation d'aliments de qualité dans les Baronnies, un très beau pays situé au nord des premiers contreforts des Pyrénées. Son but est de mettre à la disposition du plus grand nombre de consommateurs la meilleure nourriture possible, provenant de fermes recherchant la biodiversité, dans une nouvelle économie permettant les prix les plus justes pour tous.

Au cours de rencontres ouvertes à tous (selon la démarche de l'économie associative), se déroulant sur le territoire, différents contrats sont élaborés :

  • Par ceux qui produisent;

  • Par ceux qui distribuent;

  • Par ceux qui consomment la production.

On introduit ainsi les bienfaits du commerce équitable, car les besoins des 3 types de partenaires sont satisfaits ; les intérêts s'équilibrent. Les biens circulent alors à leur juste et vrai prix. L'argent reste dans le pays.

Voir la vidéo sur youtube https://www.youtube.com/watch?v=guzElzSkPSU & site site Paysans des Baronnies http://paysans-baronnies.com/

Biocoop un réseau de magasins bio qui propose de nombreuses solutions écologiques par la consommation économique

BIOCOOP : Entreprendre autrement c’est possible Voir la vidéo BIOCOOP

L'avantage d'un réseau est de conjuguer l'esprit libre d'entreprendre et l'accompagnement social d'entrepreneurs qui ont réaliser ensemble une expérience des biens communs de la distribution qui respecte l'économie et l'écologie

Biocoop est partenaire de terre de liens le réseau Faites pousser des fermes à taille humaine donnant la possibilité aux consommateurs de participer financièrement au développement de producteurs respectant la biodiversité

Nous observons dans nos ruralités la difficulté à trouver des magasins respectant le juste prix pour la qualité . De plus les magasins qui se créent disparaissent 2 ou 3 ans après leur ouverture. Le manque d'expérience des organismes d'accompagnement dans l'économie coopérative de distribution est la conséquence de ces échecs qui se répètent.

Si nous voulons que nos ruralités vivent économiquement nous devons éviter la multiplication des trajets pour aller faire nos courses alimentaires de qualité dans les villes voisines. Un magasin biocoop possède tous les atouts pour répondre à la demande des consommateurs surtout , si comme à Caylus 82160 , il se situe sur un axe de passage

6000 véhicules passent aujourd'hui tous les jours dans le village*, les commerces du centre du village ne  profitent  pas de cet avantage du fait que les parkings sont insuffisants, quant aux nouveaux commerces ils disparaissent dans les 2 ou 3 années qui suivent leur inauguration .

Un commerce issu d'un réseau coopératif à l'entrée du village sur ce lieu de passage serait le bienvenu pour  l'économie du village et de ses habitants ; mais sans groupe porteur de la société civile, une grande distribution ne s'imposera-t-elle pas ?

  • Chiffres communiqués par la Direction Départementale des Territoire

Le local chez Biocoop voir la suite

Implication dans la construction de filière voir la suite

Et si je l'ouvrais (mon magasin Biocoop) ? voir la suite

Créer mon magasin Biocoop voir la suite

Pour lutter contre la pollution environnementale et limiter la masse de déchets d’emballage, Biocoop propose aux consommateurs de nombreux produits en vrac  voir la suite

Cette initiative de biens communs est une solution pour réduire les problèmes de production des déchets et apporter un soutien pratique aux élus qui luttent contre l'incivilité du tri-civique

"Incivilités STOP" dans le mot du maire de Caylus-Caylus. Tri civique: rien n'est gagné! Voir la suite

Les biens communs n'ignorent pas les Paysages Résilients – Approche Systémique du Territoire post-effondrement – Pierre Lacroix