Libérons coopérativement les semences! Nous libèrerons la vie alimentaire économique de qualité avec les consommateurs responsables.
Carré "blés" semés au jardin à Caylus
« L’esprit de concurrence s’est imposé dans la culture jusqu’à notre époque, de façon à ce que, au final, on soit toujours le perdant de quelqu’un d’autre. »
Travailler un cadre juridique et économique pour une alimentation de qualité en intégrant les consommateurs
La grande supercherie de la gouvernance du système d'exploitation
En mettant à l'écart les consommateurs de ses décisions, la gouvernance du système d'exploitation de production et de distribution impose la perpétuité d'un dictat et les consommateurs deviennent les principaux oubliés autrement dit « les potiches du système », bien que leurs actes d'achat sont indispensables à cette économie du pire qui continue à polluer, à empoisonner ou à affamer et à perpétuer le chômage.
Voir États généraux de l’alimentation-Quelles avancées pour les consommateurs ?
Les consommateurs, simples spectateurs des réformes suite
Nous consommons tous et par conséquent nous pouvons devenir prisonniers de ce système du pire . Consommer et travailler pour libérer la production de l'alimentation de qualité est le moyen fondateur de construire sa délivrance individuelle et collective.
Les consommateurs sont majoritaires dans la vie économique que nous soyons élus décideurs du haut ou du bas de la pyramide de la gouvernance politique soumise au dictat du système , consommateurs responsables ou habitants : nous mangeons tous et de ce fait devenir une prochaine victime du système d'exploitation devient fort probable car il met la qualité alimentaire bien après l'essentiel des intérêts de l'exploitation : le superflu, la spéculation et la duperie permanente
Actuellement la démocratie participative, le financement participatif entrent dans de nouvelles habitudes mais est-ce réellement des projets portés par la consommation responsable de la société civile ?
En participant au volet "semences reproductibles", la consommation responsable participe à inverser le système d'exploitation . La consommation responsable devient un coopérateur pratique de la production de la vie au départ du processus d'une économie alimentaire de qualité.
Avantage de ce projet : la capacité de créer de NOMBREUX emplois dans la vie économique des biens communs
Le projet coopératif d'un groupe " consommation responsable et développement des semences reproductibles " à Caylus et ailleurs.
Libérons coopérativement les semences ! : nous libérerons la vie économique .
Jardiniers- amateurs, mais aussi paysans, maraîchers, avec le choix de semences reproductives paysannes, (non hybrides F1 non OGM) vous défendez la biodiversité cultivée de nos régions, et participez ainsi à la production d'une alimentation de qualité, et très diversifiée, bonne pour la santé : en faisant perdurer les variétés anciennes et locales, avec une diversité de variétés dans les champs pour une culture sans pesticides sans engrais.
La coopération entre jardiniers amateurs / professionnels maraîchers -paysans par une réflexion commune et un travail de conservation mis en synergie est le moyen citoyen de nous délivrer de l'emprise des lobbies semenciers qui imposent des variétés de légumes restreintes , aux caractéristiques uniformisées.
Un groupe local peut se constituer pour :
- l'organisation de bourses d'échanges de semences,
- la recherche de variétés locales potagères,
- sensibiliser sur les problèmes liés aux semences (juridique, techniques de récoltes et de conservation, ... )
contact : Christiane ROQUES Lien en Pays d'OC
Facebook : un jardin naturel en Quercy Rouergue pour la création de lien social
Merci d'apporter votre participation à ce projet de biens communs, Lien en Pays d'OC assurera la communication par la diffusion et la mise en relation.
Maisons de la semence : un espace de liberté agricole
Contre l’hégémonie des grands semenciers industriels, des paysans réagissent et créent des maisons de semences collectives. Exemples au Larzac et dans le Périgord.
Comme chaque soir, Laurent Reversat monte au pré pour ramener à la bergerie ses 130 brebis, aidé de son fidèle border collie Farine. Il vient de s’installer sur une ferme de 250 hectares, dont 38 semés de céréales et fourrage pour nourrir ses bêtes en hiver. suite
La consommation évolue, elle se responsabilise vers la recherche de qualité voir la suite et pourtant deux extrêmes s'opposent dans le système d'exploitation : le nombre des milliardaires augmente, la famine aussi.
La consommation responsable dans la tri-organisation sociale d'une alimentation de qualité avec les producteurs et les distributeurs ENSEMBLE construiront les moyens de résister aux investissements de matériel superflu n'enrichissant que la dette . Cette méthode pratique coopérative évitera de prolonger le système mutualisant l'exploitation de production et la grande distribution qui oublient ensemble d'associer la vie des 3 piliers fondamentaux du développement durable .
Le développement durable est « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs », citation de Mme Gro Harlem Brundtland, Premier Ministre norvégien (1987).
En 1992, le Sommet de la Terre à Rio, tenu sous l'égide des Nations unies, officialise la notion de développement durable et celle des trois piliers (économie/écologie/social) : un développement économiquement efficace, socialement équitable et écologiquement soutenable.
En oubliant d'associer la vie des 3 piliers fondamentaux du développement durable , celui-ci devient une nouvelle supercherie prolongeant le toujours même système d'exploitation ne prenant pas en compte les catastrophes climatiques, sociales, économiques ...fatales à venir .
Globalement, le réchauffement climatique est plutôt le parent pauvre de l’information grand public. ici
La grande distribution s’engouffre dans la bio... et en menace les valeurs
Alléchées par la progression du marché des produits d’agriculture biologique, les grandes enseignes de distribution s’y engouffrent, avec leur logique de volume et de produits standardisés. Menaçant d’industrialiser la bio et d’en perdre les valeurs. suite
Pour sortir de l'ornière, Carrefour annonce un grand plan de transformation
Carrefour a dévoilé mardi un vaste plan de transformation à l'horizon 2022 (lire le communiqué en bas de l'article) passant par des réductions de coûts, des investissements massifs dans le digital et un partenariat stratégique en Chine. Pour sortir le premier distributeur européen de l'ornière, son nouveau PDG Alexandre Bompard arrivé en juillet va simplifier son organisation en rationalisant ses sièges en Ile-de-France, avec un plan de départs volontaires en France de 2.400 personnes.
Investir dans le commerce en ligne. Le groupe va aussi engager des réductions de coûts de 2 milliards d'euros dès 2020 en année pleine et va céder 273 magasins Dia. Il entend aussi faire du groupe un acteur omnicanal "de référence", avec un investissement de 2,8 milliards d'euros dans le numérique d'ici 2022 et un objectif de 5 milliards d'euros de chiffre d'affaires dans le e-commerce alimentaire en 2022. Il lancera en 2018 un site unique en France, Carrefour.fr, qui aura vocation à être élargi dans d'autres pays.
Se positionner sur le bio et le commerce de proximité. Carrefour veut également presque quadrupler son chiffre d'affaires dans le bio à 5 milliards d'euros en 2022, et ouvrir au moins 2.000 magasins de proximité dans les cinq prochaines années. Alexandre Bompard a par ailleurs annoncé que le groupe n'avait "aucun projet de fermeture d'hypermarchés en France." "La pérennité de nos hypermarchés exige une modification de leur modèle de gestion", a-t-il affirmé, expliquant que le groupe a décidé de "passer cinq magasins en location-gérance".
Ouverture à la Chine. Par ailleurs, le géant de l'internet chinois Tencent et la chaîne de supermarchés chinoise Yonghui s'apprêtent à entrer au capital de la filiale de Carrefour en Chine, selon un accord préliminaire signé entre les trois partenaires. Carrefour annonce qu'il restera le premier actionnaire de sa filiale en Chine. Parallèlement à ce projet d'investissement, Carrefour et Tencent annoncent la signature d'un "protocole d'accord de coopération stratégique en Chine", l'objectif étant de mettre en commun l'expertise de Carrefour dans la distribution avec le savoir-faire technologique de Tencent, géant des réseaux sociaux en Chine. Suite
Actuellement la grande offensive de Carrefour , de Leclerc et autres grandes enseignes pour le BIO ne changera jamais le problème social . Quadrupler le chiffre d'affaires sur le bio ??? Mais avec quels producteurs, et quels produits ?
Claude Gruffat Président du réseau des magasins Biocoop : "On aura besoin de 60 000 producteurs de proximité en bio de plus dans les cinq ans"
Claude Gruffat : le bio peut-il perdre son âme ?
Claude Gruffat, , s’interroge sur notre avenir alimentaire dans le livre « Se nourrir demain» (préface de Marie-Dominique Robin) aux éditions La Mer Salée. Voir la vidéo
Cher(e)s ami(e)s consommatrices, consommateurs le Bio qui fait 3 fois le tour du monde n'est pas du Bio, il doit devenir local. Voici plus de 30 ans que nous faisons ce constat " Les produits circulent mais les idées restent immobiles". Mettons nos idées en marche et en coopération " Libérons coopérativement les semences reproductibles, nous participerons à libérer la vie alimentaire de qualité. La Biocoopération est le moyen de retrouver la "logique " oubliée de la BIO avec ce respect de la biodiversité voulue par ses pères fondateurs . La diversité de la vie et de l'innovation existent aussi chez l'être humain qui dans "une consommation responsable et de développement des semences reproductibles" donnera une valeur coopérative qui ne s'arrêtera pas qu'à la vente et à sa concurrence . En prenant en compte la valeur humaine ajoutée qui s'exprime dans l'anticipation d'une économie pour les générations futures , l'alimentation de qualité portée avec les consommateurs reponsables, les producteurs et les distributeurs réunis s'organisera pour sortir de la prison du système dominant l'exploitation et la supercherie . Les institutions devront s'adapter à la réalité de la vie sociale, économique et écologique qui dépasse la concurrence et la guerre économique pour servir un public composé d'êtres humains et non pas la consommation sans conscience qui nous plonge collectivement vers le toujours pire.
Deux extrêmes dans le système d'exploitation : le nombre des milliardaires augmente , la famine aussi .
Le nombre de milliardaires a connu en 2017 sa plus forte hausse de l’histoire
Dans son nouveau rapport, l’organisation Oxfam constate qu’1 % de la population mondiale s’est approprié 82 % du surplus de richesse. Et que le nombre de milliardaires a connu l’année dernière sa plus forte hausse de l’histoire. suite
La faim dans le monde augmente pour la première fois depuis dix ans
16 octobre 2017 / Émilie Massemin (Reporterre)
Pour la première fois depuis plus de dix ans, le nombre d’affamés a augmenté en 2016 et atteint 815 millions de personnes. L’ONU met en cause une multiplication des conflits armés et l’impact de phénomènes climatiques extrêmes. En passant sous silence les ravages causés par l’accaparement des terres sur les petits paysans du Sud. suite
La bienveillance serait plus efficace que la concurrence
« L’esprit de concurrence s’est imposé dans la culture jusqu’à notre époque, de façon à ce que, au final, on soit toujours le perdant de quelqu’un d’autre. »
Par Axel Leclercq
Le Darwinisme social prétend que les humains progressent par les conflits et la compétition. Pourtant, Darwin, s’il avait en effet théorisé que la compétition était bien à l’origine de l’évolution des espèces, avait cependant précisé qu’elle devait aussi s’accompagner de la coopération. Alors, pourquoi n’avoir retenu que ce qui nous opposait ? Et tout le monde s’en fout, qui s’est penché sur le concept de bienveillance, répond. suite