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L'exemple à suivre pour revitaliser nos villages

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L'EXEMPLE A SUIVRE POUR L'AVENIR  DE NOS VILLAGES ET DE NOS RURALITES : REPONDRE A LA DEMANDE SANS CESSE GRANDISSANTE!  N'EST CE  PAS LA PREMIERE REGLE ECONOMIQUE A FAVORISER?  DES JARDINS ABANDONNES DANS NOS VILLAGES PEUVENT SERVIR LA BONNE CAUSE

Cantines: le débat relancé Le maire de Bioussac demande à la communauté de communes d'acquérir des terres. Pour employer des chômeurs et alimenter les cantines Fini les nounours. Installé à Bioussac, Nicolas Wisser est maire et maraîcher bio. Il n'hésite pas à montrer l'exemple sur le terrain. Photo archives Phil Messelet
Maire de Bioussac et aussi maraîcher bio, Nicolas Wisser prêche par l'exemple. Sa commune, qui compte 226 habitants, était la première en Charente à signer la charte «Terre saine» initiée par la Région pour bannir les pesticides. Aujourd'hui, celui qui est aussi élu à la communauté de communes (CDC) de Ruffec veut tourner la page des vilains nounours qui pointaient du doigt les mauvais payeurs des cantines.
Loin de «l'hystérie» déclenchée par cette maladresse, Nicolas Wisser se veut constructif. Il s'adresse à ses collègues communautaires. Il demande que soit relancée l'idée qu'il avait émise «il y a cinq ou six ans» lorsqu'il était question d'introduire des produits locaux dans les réfectoires. Son projet? La collectivité acquiert une quinzaine d'hectares qu'elle met à disposition de maraîchers sous forme d'un bail de carrière valable jusqu'à la retraite. Les élus s'engagent à acheter la production aux producteurs qui s'engagent eux-mêmes à les livrer en priorité. Du gagnant-gagnant. Une forme d'Association pour le maintien de l'agriculture paysanne (Amap) à l'échelle d'un territoire.
25 hectares à Poitiers
Nicolas Wisser y voit beaucoup d'avantages. Le premier. «Le maraîchage bio est créateur d'emplois. On pourrait embaucher dans ces structures les mauvais payeurs dont la plupart sont sans travail. Avec un objectif de production, de résultats. Ce qui n'est pas toujours le cas des chantiers d'insertion.»
Second avantage. «Ces terrains serviraient de support pédagogique pour nos enfants et leurs parents-payeurs en difficulté. Ils pourraient mettre leurs mains dans la terre et vivre ce lien si important de la terre à l'assiette. Aujourd'hui, on se contente de petites sorties scolaires ici et là qui ne changent rien. Si les écoliers apprennent à cultiver une parcelle régulièrement, ils sauront qu'il faut trois mois pour faire pousser une salade, six mois pour des betteraves.»
Producteur bio depuis vingt ans, Nicolas Wisser écoule la totalité de ses légumes en vente directe. Il sait l'importance de la relation avec le consommateur. Il n'est pas le seul à se battre pour renforcer cette dimension économique et sociale, locale.

D'autres collectivités ont franchi le pas. Dans les Cévennes, la commune de Barjac a participé à l'acquisition d'une ferme. «Poitiers a acheté 25 hectares en bio pour installer des maraîchers qui vont produire pour les collectivités. La Couronne travaille également à un projet similaire», poursuit le maire en invitant toutes les personnes intéressées par le sujet à participer à la prochaine réunion de la CDC de Ruffec, le 15 décembre. «Ruffec et son canton bougent, osons!»


Pour ceux qui douteraient que la voie du bon sens est bien celle-ci: rappelons l'article publié voici plusieurs années par l'Expansion : l'agriculture française condamnée à l'excellence " que vous pouvez consulter au chapitre 3 du lien suivant ici 

 

voir aussi  la guerre est dejà dans nos assiettes et sur nos terres ici

Les chiffres et la Grande illusion

"Arrêtons de manger de la merde....vient de nous rejoindre sur Facebook dans notre groupe Evenement Quercy Rouergue nous pourrions ajouter ...et du poison!
Depuis l'après-guerre, nos gouvernements et particulièrement celui de notre pays sont responsables de la disparition de notre agriculture. En 1970 l'agriculture française en biodiversité était l'une des plus performantes du monde . Le choix de nos " mauvais chefs " d'avoir soutenu les fabriquants de matériels de grande exploitation et de transports pour le profit des hyperdistribution a plongé notre Planète dans la tourmente de la grande illusion que nous connaissons aujourd'hui. La surconsommation d'énergie de la longue , longue chaîne industrielle par laquelle les produits voyagent du Nord au Sud et de l'Est à l'Ouest profite à une minorité et cela au détriment de bien nourrir les hommes.
Les intérêts des grands lobbys est d'allonger cette chaîne indéfiniment de manière à monopoliser par leur science empoisonnée par leur pouvoir leurs  profits personnels et de  leurs serviteurs.
Le premier besoin de l'Humanité est celui de se nourrir convenablement . Ceci a pour conséquence non plus de penser le chacun pour soi mais socialement nos projets alimentaires et cela au-delà des intérêts politiques personnels . Depuis l'après guerre nous assistons à un jeu de dupes entre l'Europe , l'Etat français et nos régions : "c'est pas moi c'est l'autre" mais la faute est celle de tous ceux qui font de la politique globale leur portefeuille personnel oubliant leur responsabilité première de légifirer face aux empoisonneurs . La base simple est bien dans les projets de revitalisation de nos villages : les voies alternatives simples pour construire des filières courtes : par conséquent économique dans le sens réel du mot.
Notre site est construit pour permettre à chaque personne qui veut sortir de ce jeu de dupes nous conduisant au chaos par la manipulation permanente de rejoindre notre mouvement. Nous avons la possibilité de nous sortir de ce piège, socialement.   Le pouvoir du système repose sur le mensonge permanent de la publicité, les bases nouvelles d'une reconstruction de notre économie, quant à elles repartiront à partir des hommes eux-mêmes formant des cercles réfléchissant sur les soins de l'être humain et de la terre. Cette démarche du coeur passe par la rencontre directe dans les réunions avec ceux qui gèrent nos institutions locales avec tous les acteurs élus rémunérés et engagés bénévoles .

Le bénévolat ne doit pas resté durable car le travail de bien commun doit être reconnu dans un pays qui veut donner des leçons de démocratie au Monde entier. Pour cette raison , nous devons réfléchir à partager des salaires d'élus et des bénévolats engagés travaillant pour la même cause faire avancer la République Inachevée par la Démocratie évolutive et Equitable; le Revenu de vie est une réponse à cette réflexion. 

Dans ces cercles locaux élus rémunérés et engagés bénévoles doivent se rencontrer afin de constuire durablement un revenu de base d'existence pour chacun garantissant la démocratie durable. La nouvelle compétence sociale ne peut se développer qu'en organisant des rencontres mettant en présence les bénévoles acteurs ayant déjà travailler sur les nouvelles formes comme les rencontres-forums ; l'information non manipulée , les monnaies locales complémentaires, le revenu de vie indispensable pour chaque être humain et les moyens de rebondir après ces rencontres pour construire avec tous les femmes et hommes de bonne volonté pour sortir de ce système confisqué par ce pouvoir d'empoisonneurs. http://lienenpaysdoc.com/index.php?option=com_content&view=article&id=174%3Aogm-letude-qui-accuse&catid=13%3Aagenda&Itemid=59