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Le développement des territoires mais avec quel argent et pour quelle gouvernance ?

Jean Jaurès disait «  Quand les hommes ne peuvent changer les choses , ils changent les mots »

La qualité alimentaire , nous pouvons le comprendre agit d'une manière positive sur la qualité de la santé de l'être humain et de son environnement , par conséquent le développement de cette qualité est fortement liée à celle de l'argent qui doit circuler et non stagner comme un produit fini empaqueté .

La qualité de l'argent comme la qualité alimentaire ne peuvent s'achever. Il est indispensable de concevoir des outils économiques et démocratiques capables d'évoluer afin que chaque citoyen puisse apporter sa contribution coopérative au développement du territoire et de l'économie du territoire sur lequel il vit. Pour cela , la pensée unique ne convient pas , il est indispensable de s'en délivrer car elle considère l'être humain comme sa propriété alors que celui-ci est capable d'évoluer à penser par lui-même.

Ce que disait Jaurès 

Un lecteur du Grand Soir

Un siècle après son assassinat, la classe politique dans son ensemble ou presque va célébrer la mémoire de Jean Jaurès. L’occasion de mettre certains face à leurs responsabilités et leurs contradictions. Alors, qu’est-ce qu’il disait Jaurès ? voir la suite 

 

 

Jean Jaurès disait «  Quand les hommes ne peuvent changer les choses , ils changent les mots »

Aujourd'hui les mots sont  récupérés par des serviteurs du système en recherche permanente d' idées novatrices  , les projets de la société civile  doivent-ils permettre de conserver les places de ces serviteurs ou ne pas perdre le sens des mots?

Contre la pensée unique de la société, Christophe André invite à méditer

Dans une société d’hyper-connectivité et de surexposition aux médias et au consumérisme, Christophe André, psychiatre et psychothérapeute, défend une pensée calme et posée issue de la méditation. Un argumentaire qu’il est venu défendre sur le plateau de C à vous sur France 5.

Pour la sortie de l’ouvrage collectif « Transmettre : ce que nous nous apportons les uns aux autres » de Céline Alvarez, Férédéric Lopez et Matthieu Ricard, entre autres, Christophe André était présent dans l’émission C à vous. Pour lui, la société d’aujourd’hui tend à nous éviter la réflexion.

« Le problème de notre société, c’est une société quand même qui tend à nous manipuler, à nous décérébrer, à nous éviter la réflexion, à nous présenter des pensées toutes faites, à nous inciter à acheter… voir plus 

Penser la Démocratie évolutive

Restituer la démocratie à la société civile

Michel LALOUX

L'auteur nous invite à nous libérer des modèles anciens de gouvernements qui usurpent le nom de démocratie et à oser penser des outils économiques au service de l'humain.

La civilisation post-industrielle tarde à se manifester. Michel Laloux met en lumière les causes de l'impasse actuelle. Nous sommes pris en tenailles entre un État basé sur des formes antiques et une économie dévastatrice parce que détournée de sa fonction première par la spéculation.
Prenant l'exemple de l'éducation, il montre qu'un autre service public est possible, au sein d'établissements qu'il appelle les Écoles de la Société Civile, lieux d'exercice d'une citoyenneté de terrain animée par les acteurs de l'éducation. A travers cette métamorphose du service public, on voit se dessiner le passage d'un gouvernement unitaire à une gestion des affaires publiques par la société civile.

Quant à l'économie, la spéculation la rend malade. On ne la guérira qu'en sortant du domaine des marchandises quatre éléments qui n'ont rien à y faire: le capital, la monnaie, le foncier et le travail. Pour y parvenir, Michel Laloux propose des outils concrets, dont une nouvelle forme de monnaie, qui amèneront une révolution de la conscience économique. A découvrir sans tarder.

Ce livre nous entraîne dans une vision globale et dynamique d'une société dans laquelle la citoyenneté devient créative.

Une immense richesse pour la refonte de notre civilisation. lire la suite 

Révolution ou Evolution ?

Serons-nous capables de sortir des contradictions prolongeant le pouvoir des institutions de l'Etat que certains combattent tout en l'appelant au secours lorsque leurs entreprises marchandes ne fonctionnent pas ou plus ou que les subventions publiques ne sont plus distribuées ?

Comment pouvons nous demander de l'aide financière à l'Etat sans avoir participer à une réflexion de justice sociale et morale de l'argent et de sa réelle circulation qui permettra d' innover librement et coopérativement à partir de la société civile ?

De l’État sauveur à la Démocratie Évolutive Dans quel État finirons-nous ?
Le temps n’est-il pas venu d’interroger les fondements de nos institutions, d’oser penser plus loin qu’une cinquième ou même une sixième république, d’oser inverser la démocratie ?
C’est ce que propose Michel Laloux dans la vidéo de la conférence qu’il a donnée à Strasbourg, le 30 mars 2017 et dont le titre était :
Dans quel État finirons-nous ?
De l’État sauveur à la Démocratie Évolutive voir la conférence entière voir la conférence en vidéo 
 

Le mouvement pour la tri-organisation sociale : la voie nouvelle pour l'innovation

Quelle direction prendre? Que faire?

Écrit par  Stéphane Lejoly

Presque plus personne ne peut ignorer qu'un système social, économique, financier, politique et « moral » est en train de se fissurer puis de s'effondrer peu à peu sous nos yeux (et sous nos pieds !), entraînant avec lui l'humanité dans un chaos et une misère indescriptibles. Il n'est pas nécessaire ici d'égrainer la longue liste des catastrophes politiques, économiques, écologiques... qui ne fait que s'allonger chaque jour devant notre regard.

Les « solutions » proposées par les États nationaux, au niveau de l'Union européenne ou au niveau mondial, semblent à chaque fois mener à des impasses, voire aggravent les crises. Une expression est véhiculée (sous le couvert) dans le milieu de l'élite politique, économique et scientifique belge, qui se garde bien de communiquer son impuissance au public, de peur de susciter des mouvements de panique : «Le bateau est devenu fou et hors de contrôle». Voir plus 

Démocratie évolutive et ses principes

La démocratie évolutive permet à chacun de développer une citoyenneté créative, favorisant l'émergence de nouvelles formes sociales lesquelles deviennent le reflet des aspirations individuelles et collectives, à un moment donné. Ces formes sociales sont évolutives , à la mesure de la mobilité et de la créativité des citoyens.

Principes de la Démocratie Évolutive

1. Une gestion des affaires publiques par la société civile

La Démocratie Évolutive permet à chacun de développer une citoyenneté créative, favorisant l'émergence de nouvelles formes sociales lesquelles deviennent le reflet des aspirations individuelles et collectives, à un moment donné. Ces formes sociales sont évolutives, à la mesure de la mobilité et de la créativité des citoyens.

2. La fin des réformes par le haut

Un mythe tenace empêche la réalisation d'une véritable démocratie. Il s'agit de la croyance que l'on peut réformer par le haut. On attend alors la femme ou l'homme providentiel qui prendra en main les destinnées du pays et apportera les solutions. Cette illusion s'intensifie lors de chaque campagne présidentielle et culmine le jour du vote populaire.

Mais les surlendemains ont toujours un air de « gueule de bois ». Au fond de lui, le citoyen sait que toute réforme par le haut est mission impossible. Mais il s'adonne à ce mirage, faute d'une autre perspective.

Refondre la démocratie c'est se tourner vers le changement qui, en permanence, cherche à prendre corps sur le terrain, là où les citoyens vivent et agissent.

3. Le droit à l'expérimentation

La Démocratie Évolutive place donc en son centre le droit à l'expérimentation. Pour entreprendre des réformes, elle n'attend pas que se dessine une majorité au niveau national et que des représentants du peuple votent une loi. Un tel processus tue la prise d'initiative par le citoyen, se révèle trop lourd et trop lent.

En démocratie, une réforme et une innovation doivent pouvoir prendre corps là où elles apparaîssent comme projet.

Une telle approche suppose de revisiter les notions de gouvernement unitaire et de service public uniforme.

4. Évolution au lieu de révolution

Pour entrer en Démocratie Évolutive, il n'est pas nécessaire de faire table rase du passé par une révolution. Il ne s'agit pas d'attendre le grand soir. Le nouveau doit pouvoir se mettre en oeuvre et coexister avec l'ancien, la transformation se faisant progressivement et s'améliorant au vu des résultats de l'expérimentation.

5. Référendum et initiatives populaires

Pour que les citoyens soient en mesure d'innover, ils ont besoin d'un cadre légal qu'ils doivent pouvoir proposer eux-mêmes. Les citoyens doivent être en mesure d'intervenir directement dans les lois, sans passer par la représentation nationale. C'est ce que l'on appelle la démocratie directe laquelle utilise deux outils distincts: le référendum et l'intiative populaire. Ils sont le minimum vital de la démocratie. L'obtenir est la toute première étape vers l'évolutivité de notre société.

6. Démocratie Évolutive et Économie à Valeurs Humaines

Parallèlement une autre démarche est à entreprendre, celle de la transformation de l'économie. Il serait illusoire de penser que davantage de démocratie suffirait à régler les problèmes du monde et que, par exemple, nous pourrions atteindre un partage plus équitable des richesses à partir d'une autre forme de gouvernement ou par des taxes et des impôts.

7. Services Publics Citoyens

Une Démocratie Évolutive implique une toute nouvelle forme de service public. Pour la saisir, il convient, en premier lieu, de clarifier ce qu'est un service public, quels en sont les critères et comment les citoyens et les organisations doivent s'y conformer.

Dans chaque domaine on établit donc un cahier des charges qui définit les modalités, les règles et les obligations de contrôle auxquelles les institutions se soumettent si elles veulent avoir le label de service public. Ainsi, on sortira de l'opposition stérile entre les partisans du „moins d'État“ et les défenseurs du service public centralisé.

Pour aller plus loin:

Sources site Démocratie évolutive

 

Deux portes d'entrée dans les réseaux de réflexions et d'échanges citoyens

Consommer, semer et entreprendre Librement sur nos territoires cliquer ici 

Association Lien en Pays d'OC cliquer ici 

Les acteurs de la société civile préoccupés par le développement de la dette publique

Eudes Baufreton sur RMC « Il faut arrêter de tout subventionner »

Eudes Baufreton, directeur de Contribuables Associés, a plaidé pour un contrôle drastique des subventions aux associations dans l'émission d'Eric Brunet du 4 octobre 2017.

L’État et les collectivités locales doivent cesser de verser des subventions aux associations de toutes sortes : l’argent public, c’est notre argent !

Les subventions aux associations ont explosé sous François Hollande : son bilan présidentiel était un véritable désastre pour les contribuables. Selon les projets de loi de finances pour 2013 et 2017, les subventions de l’État vers les associations ont augmenté de 826 millions d’euros entre 2011 et 2015.

Écoutez l’intervention d’Eudes Baufreton au micro d’Eric Brunet cliquer ici 

Fin de la réserve parlementaire : un combat victorieux de Contribuables Associés

Depuis des années, Contribuables Associés réclame la fin de la réserve parlementaire. Cette enveloppe de 136 millions d'euros permettait librement aux députés et sénateurs de subventionner associations et collectivités territoriales de leur choix.

Depuis des années, Contribuables Associés martèle dans l’espace public qu’un parlementaire est un législateur, et non un mécène avec l’argent public ! Un député ne doit pas dilapider l’argent de vos impôts, encore moins subventionner des associations politiques.

En 2012, nous avions adressé 24 056 pétitions à Claude Bartolone pour exiger un contrôle des dépenses des députés. Cette pétition avait poussé la création d’un groupe de travail à l’Assemblée nationale entrainant la publication officielle de l’utilisation de la réserve parlementaire des députés. voir plus 

Victoire de Contribuables Associés : les parlementaires devront justifier leurs frais de mandat

C'est une petite révolution qui attend les Parlementaires. Imaginez qu'avant, les parlementaires pouvaient acheter tout, ABSOLUMENT TOUT, avec leur IRFM et sans aucun contrôle.

Chaque député dispose d’une indemnité représentative de frais de mandat d’environ 5 840 euros brut (5 372,80 euros net), 6 110 euros par mois pour les sénateurs. Selon le site de l’Assemblée nationale, cette cagnotte est censée servir à « faire face aux diverses dépenses liées à l’exercice de leur mandat qui ne sont pas directement prises en charge ou remboursées par l’Assemblée ».

Sans aucun contrôle, l’IRFM apparaissait pour certains parlementaires comme un véritable complément de salaire ! voir plus 

 

Les indemnités des hommes politiques sont-elles imposées ?

Alors que tout contribuable doit aujourd’hui étaler sur la place publique son revenu imposable, alors que la transparence est devenue le maître mot des gouvernants, ceux-ci n’ont toujours pas trouvé le temps de clarifier leur propre régime fiscal. Il est vrai que les intéressés n’ont pas forcément envie de révéler qu’il repose en fait sur un principe particulièrement favorable : L’imposition partielle…

Les parlementaires profitent ainsi de 5 700 € d’indemnité de base taxable et 5 700 € d’indemnité représentative de frais de mandat, la fameuse IRFM, non taxable (sans compter 1 400 € d’indemnité de fonction également non taxable…).

Les membres du gouvernement adoptent une posture similaire : Un traitement mensuel imposable et des indemnités de fonction ou de frais de mandat non imposables. voir plus 

 

Jean-Baptiste Leon sur RMC « Nous payons cher les privilèges des hauts fonctionnaires »

Jean-Baptiste Leon, rédacteur en chef de "Tous contribuables!", a répondu aux questions d'Eric Brunet ce 20 septembre sur les privilèges des hauts fonctionnaires.

Merci à Eric Brunet qui n’a pas hésité à donner son avis sur notre association. Il a en effet proclamé à l’antenne : « J’adore Contribuables Associés! » (à 42:32).

Pour réduire les dépenses publiques et réduire les impôts de tous les Français, Contribuables Associés milite :

  • pour l’égalité des retraites public-privé.

  • pour une diminution du nombre d’agents publics.

  • pour la suppression de l’ENA.

  • pour l’incompatibilité d’un poste de fonctionnaire avec celui de parlementaire.

  • pour l’établissement de trois jours de carence dans la fonction publique.  voir plus 

 

Plus un euro d’argent public pour Hollande ! [Signez la pétition]

Pétition nationale de l'association Contribuables Associés contre le financement public de la Fondation de François Hollande

François Hollande,

En 5 ans de mandat, vous avez augmenté les impôts, multiplié les subventions clientélistes, massacré l’emploi dans notre pays, dilapidé l’argent public…

Votre bilan parle pour vous, les Français ont souhaité tourner la page Hollande.

Moins de deux mois avant votre départ de l’Élysée, vous vous êtes arrangé pour que la « Fondation – la France s’engage » – dont vous alliez prendre la direction – soit décrétée établissement d’utilité publique… Une façon pour vous de sécuriser les subventions et déductions fiscales de votre nouveau projet…

Pire, le 11 mai 2017 devant les caméras, vous avez osé quémander  des « crédits publics » pour financer votre fondation à Emmanuel Macron.

Votre fondation bénéficiera de 8,5 millions d’euros de subventions annuelles, soit l’impôt sur le revenu de plus de 3 600 familles !

Je n’accepte pas que mes impôts payent votre reconversion.

En signant cette pétition de l’association Contribuables Associés, je refuse de vous donner un seul centime de mes impôts.  

Je vous demande donc de renoncer officiellement à recourir à l’argent public pour financer votre recasage. voir plus 
 

Zone euro : le piège de la gouvernance
Un gouvernement central permettrait à l’Europe de renouer avec la croissance, selon ses partisans. Que ce soit pour imposer la rigueur ou la redistribution, les arguments sont faibles.
Par Ferghane Azihari.

La Zone euro est régulièrement décrite comme la région la moins performante des économies occidentales, à tel point que le terme de « stagnation séculaire » s’est imposé parmi les économistes pour qualifier la croissance atone des pays membres de l’Union économique et monétaire (UEM).
Comment expliquer cette stagnation ? Pour les partisans de l’intégration politique du continent européen, c’est le défaut de gouvernance. La Zone euro serait incomplète. Il lui manquerait une union politique et fiscale pour mieux fonctionner. Le contenu de cette union politique et budgétaire reste à déterminer mais l’on peut déjà affirmer que deux doctrines sont en compétition........
Laxisme politique
Les deux autres raisons de douter de l’efficacité de ces règles tiennent à leur application. On n’a jamais vu un seul État officiellement sanctionné en raison du non-respect des critères de Maastricht alors que l’écrasante majorité des gouvernements de la Zone euro ne les respectent pas.
Ce laxisme est politique. Qui peut croire un instant qu’infliger une amende à un État qui peine à boucler son budget est efficace ? Comment une telle sanction passerait-elle dans l’opinion publique ? Que dire du traitement inégalitaire entre les petits États visés par les procédures relatives à l’endettement et aux déficits excessifs et les grands États qui n’ont jamais été inquiétés malgré une gestion loin d’être exemplaire ?  
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Le poids de l’État, frein à la culture du don

Les Français aiment la solidarité, mais quand on en vient à évaluer leur culture du don, les chiffres parlent d’eux-mêmes : ils sont à la traîne dans les classements internationaux. Et si la place de l’Etat n’était pas sans rapport à l’absence de générosité ?

Par Nathalie MP.

Des Français généreux mais…

Il se trouve que le 3 octobre dernier, l’institut de sondage Kantar Public a publié son baromètre annuel de la générosité des Français sous le titre beaucoup repris par la presse, surtout la première partie : « Des Français toujours plus généreux mais dont le nombre stagne ».

Il ressort de cette enquête que 46 % des Français font un don au moins une fois par an, que les donateurs ne rajeunissent pas et que l’augmentation des sommes recueillies en 2016 résulte comme en 2015 et 2014 de l’augmentation du don moyen (+ 2,5 %), lequel est de 64 € par chèque, 103 € en ligne et 13 € lorsqu’il s’agit d’un prélèvement mensuel.

Dans leur choix d’association, les donateurs privilégient l’efficacité des actions de l’institution considérée, la nature de la cause soutenue et la transparence financière. Les trois causes préférées sont – par ordre décroissant d’intérêt – l’aide à l’enfance, la lutte contre la pauvreté et la recherche médicale. Enfin, l’incitation fiscale (réduction d’impôt de 66 % ou 75 % du don) n’est pas la raison pour laquelle ils donnent, mais elle intervient pour décider du montant. voir plus 

Fin de cavale pour les multinationales ?

Cesont des millions d’injustices auxquelles nous pourrions enfin mettre un terme, si seulement les multinationales étaient tenues légalement responsables des violations aux droits humains qu’elles commettent partout dans le monde. voir plus 

La gauche et l’argent, une longue histoire d’amour

La savoureuse arnaque de la lutte des classes : enrichissons-nous du pouvoir absolu et appauvrissons le peuple !

Par Aurélien Véron.

La gauche a toujours été fascinée par l’argent. Tout, pour elle, se ramène à l’argent. Mais avec une saisissante asymétrie, ses zélateurs mettent autant d’ardeur à s’enrichir eux-mêmes qu’à s’attaquer à la richesse d’autrui.

Elle a supprimé de son programme toute allusion aux choix individuels, à la liberté et au bonheur pour s’attaquer à d’autres priorités : gommer les différences – renommées « inégalités » – et imposer à tous des valeurs collectivistes qui se traduisent par une infantilisation continue des citoyens.

Ces derniers sont ainsi continuellement appelés à s’appauvrir – l’argent, c’est le péché – et à suivre la ligne officielle du pouvoir sur la parentalité, l’alimentation, les déplacements, la culture, le logement et tous les autres aspects de la vie quotidienne.

Cette schizophrénie quasiment pathologique devient évidente à l’extrême gauche. Cette « gauche de la gauche » n’a pas compris, contrairement à la gauche classique qui a su s’enrichir très largement du pouvoir local et national ces dernières décennies, qu’il fallait profiter de sa richesse et de ses privilèges dans une discrétion absolue.

Rétropédalage  voir plus 

Propositions des acteurs publics avec ou sans les acteurs de la Société civile  préoccupés par le développement de la dette ?

Comment développer l’emploi dans les zones rurales

Lutter contre la polarisation de l’emploi et des activités économiques dans les grands centres urbains via des relations pointues avec les entreprises, s’appuyer sur les atouts des territoires, se positionner sur certaines filières… Autant de clés propres à favoriser un développement économique harmonieux des territoires, ruraux comme urbains. Un débat entre Véronique Besse, présidente de la communauté de communes du Pays des Herbiers, et Boris Ravignon, président d’Ardenne Métropole, organisé dans le cadre de la convention nationale de l’Assemblée des communautés de France (ADCF), le 5 octobre à Nantes. Voir plus 

Marc Abadie : “Il n’y a pas d’opposition entre rural et urbain !”

Les projets de territoire embrassent désormais monde rural et monde urbain, souligne le directeur du réseau et des territoires à la Caisse des dépôts et consignations, alors même que les nouvelles intercommunalités, portées à un seuil minimal de 15 000 habitants depuis janvier, maillent villes et campagne. Un échange organisé dans le cadre de la convention nationale de l’Assemblée des communautés de France (ADCF), le 5 octobre à Nantes.  voir plus 

Stéphane Hauguel : “Donner sens et perspectives aux agents intercommunaux”

Il est nécessaire, estime le responsable des ressources humaines de la communauté d’agglomération Paris Saclay, de donner sens et perspectives professionnelles aux agents intercommunaux alors que leur environnement institutionnel est mouvant et que leur écosystème territorial est “complexe”. Un échange organisé dans le cadre de la convention nationale de l’Assemblée des communautés de France, organisée début octobre à Nantes. voir plus 

Amélie Verdier, directrice du budget : “On peut tout à fait préserver sa vie privée sur les postes à responsabilités”

La directrice du budget, Amélie Verdier, dresse un bilan contrasté de la mise en œuvre de la Lolf, dix ans après son déploiement. Certes, dit-elle, une culture de la performance a infusé au sein des administrations, mais la responsabilisation des gestionnaires doit encore progresser. En matière d’égalité entre les femmes et les hommes sur les postes à responsabilités, elle constate encore une autocensure : “Certaines jeunes femmes se disent qu’elles ne vont pas réussir à tout concilier.” voir plus