Vinaora Nivo Slider 3.xVinaora Nivo Slider 3.xVinaora Nivo Slider 3.xVinaora Nivo Slider 3.x

Infos à la Une

site internet montauban

Le déclin des civilisations est-il inévitable ?

La terre sous l'entonnoir Photo de Extelle Alice
 
Nos civilisations actuelles sont-elles arrivées à leur apogée ? Sont-elles vouées à disparaître ? Toutes les prophéties et les mythes, notamment amérindiens, qui font référence à des cycles de destruction et de renouveau sont-ils là pour nous rappeler que chaque nouvelle civilisation marque une nouvelle étape qui nécessite de profondes transformations ? Lire la suite

Vers une famine planétaire - l'épuisement du phosphore -

Documentaire expliquant l'importance du phosphore dans l'agriculture mondiale et son épuisement programmé. voir la vidéo 

Tout savoir sur L'épuisement des ressources naturelles

La fin des ressources naturelles et minières

L'épuisement des ressources du fait de la surconsommation humaine concerne la biodiversité, les ressources végétales (déforestation, prélèvement végétal), l'extinction des espèces mais aussi les minerais et matières premières.

  • Les ressources non renouvelables : ce sont principalement des matières premières minérales et les combustibles fossiles, qui proviennent de gisements formés au cours de l'histoire géologique de la Terre et correspondant à un stock, par essence même, épuisable.

  • Les ressources renouvelables : ce type de ressources peut être consommées sans être épuisées car elles peuvent se régénérer en permanence. lire la suite 

Un mot sur la civilisation et l’effondrement (par John Zerzan)

Des civilisations ont vu le jour et disparu au cours des 6000 dernières années. Il n’en reste plus qu’une — différentes variantes culturelles pour une seule civilisation mondialisée.

L’ombre de l’effondrement menace. Nous avons déjà vu l’échec, sinon le naufrage, de la culture occidentale. L’Holocauste, à lui seul, dans le pays le plus avancé culturellement (au niveau de la philosophie, de la musique, etc.), révèle l’impuissance de cette culture. lire la suite 

" Danser sur un volcan" de Nicolas Baverez 

Il n’est pas inutile d’exercer son esprit critique en lisant. A cet égard, la lecture de cet ouvrage de Nicolas Baverez est intéressante:

L’auteur analyse à sa façon les différentes crises que nous traversons ou qui nous menacent, avec une insistance toute particulière sur l’islamisme radical. Il dénonce les différents populismes qui modifient la vie politique démocratique. Il dénonce le retour au chauvinisme dans certaines contrées. Il analyse les évolutions du système libéral. Il met en évidence l’importance du numérique. lire la suite 

On ne compte plus les candidats à la présidentielle qui prétendent réformer nos institutions s'ils sont élus.

Anne-Cécile Robert

Comment peuvent-ils sérieusement envisager d'avoir un quelconque débat de fond dans une compétition électorale hystérique qui personnalise toutes les questions, qui réduit tous les enjeux à des micro polémiques caricaturales et qui transforment les électeurs en supporters? Les candidats seraient plus avisés, plus cohérents et peut-être plus sincères, s'ils réclamaient le remplacement de la présidentielle par l'élection d'une Constituante. Signez la pétition sur www.pouruneconstituante.fr

Evitons de déléguer aux politiciens business bien payés pour ne rien changer dans le fonctionnement durable du système, engageons-nous dans une économie réelle responsable gérée par la société civile.

Tissons du lien entre les informations de la société civile voir la suite

En matière d’écologie, l’homme est capable du pire… mais aussi du meilleur ! Un drôle de paradoxe illustré à merveille par la mer d’Aral : alors qu’on pensait ce joyau perdu à tout jamais, le voici qui refait enfin surface ! Une véritable résurrection qui a tout du petit miracle. Explications.

Mer d'Aral : une renaissance aussi belle que spectaculaire et inattendue !

Presque sèche et quasiment sans vie, la mer d'Aral ressuscite enfin ! Gros plan sur une nouvelle inespérée qui redonne espoir en l'avenir.

La mer d’Aral a souvent fait la une des mauvaises nouvelles. Dans les années 1960, pour intensifier la culture du coton, les Soviétiques avaient privé cette mer des deux rivières qui l’alimentaient. Résultat : l’eau s’y est fait rare et la vie… quasiment inexistante !

On a tous en tête ces images de bateaux échoués au milieu de nulle part mais, heureusement, elles pourraient rapidement être reléguées au rayon des mauvais souvenirs…voir la suite 

Miracle : la mer d'Aral, que l'on pensait disparue à tout jamais, renaît !

Il est souvent difficile de croire aux miracles, davantage lorsque l’on pense à la mer d’Aral. Ce grand lac, situé en Asie Centrale, à cheval entre le Kazakhstan et l’Ouzbékistan, a longtemps été à l’agonie. Pourtant, la mer d’Aral vit depuis quelque temps une spectaculaire transformation qui nous redonne confiance en l’avenir. Oui, les miracles existent.

On la pensait perdue à tout jamais. La fameuse mer d’Aral, véritable joyau de la nature, avait été mise à mal par les hommes durant de nombreuses années. Ce lac, doté d’une surface de 67 000 km² (soit deux fois la superficie de la Belgique, pour vous faire une idée) a longtemps été alimenté par les fleuves Amou-Daria et Syr-Daria.

Quelle est l’origine de ce désastre ? Dans les années 60, les Soviétiques ont pris l’initiative de détourner ces deux fleuves afin de produire du coton de masse en Ouzbékistan. Il fallait s’y attendre, cette production en masse a causé une sécheresse du lac sans précédent. En 2000, la superficie de la mer d’Aral a été réduite à moitié. Il s’agit de l’une des plus importantes catastrophes environnementales du siècle dernier. lire la suite 

Crise agricole : …que cet échec européen ne se traduise pas par 28 désastres nationaux

José Bové·mardi 23 août 2016

C’est par cette phrase que je concluais en juin 2013, le communiqué de presse dans lequel j’annonçais que je ne voterai pas la réforme de la Politique Agricole Commune. Je me permets de republier ce texte ci-dessous. Il n’a malheureusement pas pris une ride.

Juin 2013, le Parlement européen, le Conseil des ministres de l’UE et la Commission européenne sont parvenus à un accord pour finaliser la réforme de la PAC (Politique agricole commune) pour l’après 2013. Le Verts au Parlement européen sont très critiques sur l’issue de cet accord qu’ils considèrent désormais comme une entrave à une véritable réforme de la Politique agricole commune.

L’accord trouvé entérine la fin de la PAC. Il ne reste plus grand chose de commun dans cet inventaire de mesures adaptables au gré de chacun des Etats membres. Les responsables de cet échec sont à trouver dans les trois institutions européennes, la Commission, le Conseil et le Parlement. L’Union européenne n’a pas su se projeter dans l’avenir et le Parlement européen a manqué de courage pour assumer sa nouvelle responsabilité politique en opposant un véto aux égoïsmes nationaux. Les mesures adaptables au niveau des pays sont présentées comme un pragmatisme nécessaire pour mener des actions adaptées aux situations locales.

Il ne s’agit malheureusement que d’un trompe l’œil. Sous couvert de subsidiarité, les pays vont se lancer dans des politiques productivistes destructrices de l’emploi et de l’environnement. L’Union européenne organise ainsi une concurrence sauvage entre ces propres états membres. Elle orchestre la discorde au moment ou la solidarité est si nécessaire.

Les quelques gains arrachés ici ou là ne pèsent rien face à l’effondrement d’un cadre européen indispensable pour répondre à la crise économique et sociale que nous traversons. Cette PAC ne nous prépare pas à répondre au défi plus inquiétant encore du réchauffement climatique et de ses conséquences. Je voterai donc contre l’ensemble de cette réforme. J’espère que dans chacun des Etats membres les citoyens et les paysans parviendront à se mobiliser et à peser sur leur gouvernement pour éviter que cet échec européen ne se traduise en 28 désastres nationaux.

Cette crise agricole était inscrite dans la réforme qui a été votée par la plupart de mes collègues français au Parlement européen, qui a été acceptée par les ministres de l’agriculture des Etats Membres et qui a été soutenue par le syndicat agricole du COPA-COGECA dont la FNSEA est un des piliers.

Je comprends le désarroi de nombreuses agricultrices et agriculteurs qui ont le dos au mur. Cet échec était malheureusement prévisible.

Face à l’ampleur des dégâts, l’urgence absolue est de revoir de fond en comble cette politique agricole commune sans attendre 2020.

Son but doit être de mettre en place la souveraineté alimentaire, de ne plus dépendre dangereusement de l’extérieur pour nos approvisionnements en protéines végétales et d’arrêter de courir après les marchés mondiaux qui ne sont que des miroirs aux alouettes. Le Parlement européen n’a malheureusement pas la possibilité de prendre des initiatives et proposer de revoir cette PAC. Une agriculture de qualité répartie sur l’ensemble des territoires et entre les paysans, avec des prix couvrant les coûts de production, c’est pourtant simple, non? voir la suite 

Ce que je pense de l'euro 2016 ? photo de Jean-luc Cadiot

Prendre les bonnes décisions avec  bon sens sans suivre les marchands d'illusions ?  Les grands oubliés de l'été : les mauvais côtés du sport-business

Faire le choix entre une économie nourricière de nos zones rurales ou la décadence économique et écologique des grandes mégapoles sous l'emprise de la malbouffe et du sport business  ?

Nous n'aurons pas tous des médailes aux JO et nous ne serons pas tous des champions du sport-business ; nous avons tous besoin de bonne nourriture  . Les lobbies sont incapables de faire les deux : développer le business et nourrir l'humanité, l'agriculture française sous leur emprise est en faillite... d'autres suivront, attention aux fermes-usines elles ne feront pas face à la faim du monde. lire la suite