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Le financement de nouveaux postes est au cœur du problème du désengagement des bénévoles.


En priorité il faut se poser la question pourquoi les citoyens se déresponsabilisent dans le domaine associatif tel qu'il est géré globalement ? On leur demande d'être bénévoles mais comment peut-on rester bénévole à vie quand celle-ci devient de plus en plus chère ? La question n'est donc pas de demander des responsables bénévoles pour obtenir des subventions ( sans aborder de comment la gestion publique de l'association est faite ; les comptes souvent ne sont pas publiés ) mais de se poser la question de comment l'engagement responsable pourra être reconnu et permettra de rémunérer de nouveaux postes sinon les citoyens se détourneront fatalement de l'engagement qui ne sert pas l'emploi ( c'est à dire le travail rémunéré pour les biens communs et l'avenir d'un village d'un territoire ). Qu'est ce qu'un  bien commun ? voir la suite
Tout travail mérite revenu et dans la recherche du financement coopératif la réflexion en priorité est celle de trouver le moyen de financer la rémunération de l'engagement coopératif pour les biens communs .
C'est le travail que nous faisons actuellement avec un groupe d'engagés responsables ce qui permettra d'obtenir des fonds de dotation avec la participation d'une banque éthique pour créer des emplois ( c'est à dire en rémunérant le travail ) .

Le samedi 22 Septembre 2018 de 9h30 à 12 h à Caylus Salle des associations entrée médiathèque Avenue du Père Huc

Appel aux citoyens pour 7 propositions d'une société qui n'oublie pas les biens communs dans le développement durable.

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Anne POIRIER - FEV Urbaniste ESS chez Coopaname - Freelance collaboratif - Missions secteurs public & privé

Très vrai ! Arrêtons de croire que le bien commun doit reposer sur le bénévolat !

Nikolaz Chassé KAM Food Service France / Urban Farmer

Le pb en milieu associatif c'est que la politique prend souvent le dessus et les idéaux initiaux ne sont plus défendu dans le même objectif...

Le 16/09/2018 à 15:14, Jean - Claude Groc a écrit :

Sur ce sujet, il me semble nécessaire de dénoncer, le chantage qu'opèrent certaines collectivités pour imposer leurs contraintes en échange de subventions ce qui aboutit à faire du secteur associatif un collaborateur "bon marché" desdites collectivités.

Travaux le long de la Bonnette entre Caylus et St Pierre Livron - Installation des câbles pour la fibre optique.

 

Ces photos sont accessibles  su la page de Association Lien en Pays d'OC sur r facebook cliquer ici

En ces premiers jours de Septembre 2018, les câbles pour recevoir le numérique ont été installés dans notre ruralité .

Voici quelques années ces travaux pratiqués par les hommes leur auraient demandé un temps considérable, aujourd'hui la machine-outil de plus en plus numérisée les effectuent toujours plus vite. ( 600 mètres de câbles peuvent être enfouis  par jour selon un chef de chantier )

Nous pouvons à présent utiliser cette nouvelle technologie pour rapprocher et resserrer les liens entre les femmes et les hommes ayant au préalable défini des centres d'intérêts communs.

Nous pouvons aussi laisser dériver ces liens à des administrations de communication qui décideront pour nous de comment ces intérêts seront pensés, financés et gérés en nous éloignant les uns des autres.

Ces administrations informatisées continueront de prolonger la fracture sociale en utilisant des mots qui reviennent dans nos conversations de tous les jours ( bio, démocratie, économie....en ajoutant d'autres mots : participatif , durable...)

Certains consommateurs seront trompés sur le sens d'un service qu'ils avaient imaginé être conçu pour eux , mais n'est jamais venu car le financement des projets n'ont jamais abouti à sa mise en pratique . Lorsque les projets réussissent à voir le jour, leur utilité laisse à désirer les postes n'étant pas été construits par des porteurs accompagnés par des réseaux compétents alliant l'idée à la pratique.

C'est ainsi que nous pouvons constater l'échec répété d'un durable qui devient éphémère , d'un bio qui n'est plus de qualité , d'un social qui devient le job du chacun pour soi, d'une démocratie qui n'évolue jamais et d'une économie qui devient gaspi : ce que nous pouvons constater tous les jours dans l'économie dominante.

Ces constats permettent à un nombre croissant de personnes de penser que nous sommes déjà dans l'effondrement. Cet effondrement est le résultat du développement d'investissement qui ne sert que pour lui-même et son fonctionnement et de ce fait crée le développement de la dette pour tous.

Revenons à ce choix d'utiliser le numérique pour rapprocher et resserrer les liens entre les femmes et les hommes ayant au préalable défini des centres d'intérêts communs.

En s'articulant les uns aux autres des services de biens communs s'entrecroisent , se développent en tissant une toile pratique utilisant le numérique non pas que pour son fonctionnement mais en faisant évoluer les services publics repensés avec les utilisateurs. Ces utilisateurs sont nous tous contribuables-consommateurs qui doivent se rencontrer....

Les mots, les discours ne remplaceront jamais la mise en pratique par l'engagement de l'acte coopératif.

Les distributeurs coopératifs ont une place précieuse voire indispensable dans le service des biens communs pour le développement d'une économie alimentaire de qualité . Les distributeurs coopératifs permettent de faire gagner du temps aux producteurs et aux consommateurs en concevant des magasins pensés et adaptés pour ne plus prolonger le même système basé sur l'exploitation du vivant et la pollution permanente. En évitant de prolonger des financements inadaptés aux projets coûteux pour tous mais multipliant la somme de travail que pour quelques uns : un producteur, transformateur aussi vendeur quelquefois s'occupant en plus de gîtes, revendiquant pour son manque de revenu peut se perdre lui-même dans le travail avec ceux qui pensent le soutenir . La tromperie est de faire croire que les subventions peuvent compenser en devenant une contre partie à ce travail qui perd son sens de bien servir en ne sachant plus les limites à ne pas dépasser pour assurer sa qualité.

L'homme-orchestre ne dépassera jamais en qualité à lui seul la prestation de l'orchestre symphonique.

La coopération en réseaux est l'avenir des services de biens communs ou chacun peut y trouver sa juste place : le producteur, le consommateur , le distributeur ne peuvent être séparés pour savoir pour qui et pourquoi nous travaillons. Si le producteur est soumis aux risques climatiques, de nouvelles assurances coopératives pourront voir le jour directement avec les consommateurs devenus des partenaires dans l'économie coopérative .

 

Et si les Nouvelles Technologies libéraient du temps aux êtres humains pour penser un système social, écologique et économique en accord avec le développement durable ne dérivant pas au gré de la seule intelligence artificielle qui avance , certes , mais sans savoir pour qui et pourquoi ? Si ce n'est que pour les intérêts des concepteurs de machines et de ceux qui en deviennent les esclaves.

Nous trouverons dans cette page des exemples de travail de biens communs définis selon des services déjà en activité.

voir

Qu'est-ce qu'un bien commun ?

Les biens communs n'ignorent pas la coconstruction d'une économie alimentaire de qualité dans un territoire.

Et si les « communs » constituaient cette fameuse « troisième voie », sociale et écologique, entre le marché et l’État ?

 

Maillage global d'un territoire ( voire des territoires ) : vaste chantier coopératif à réaliser en tissant du lien social entre les biens communs.

Les biens communs n'ignorent pas les Paysages Résilients – Approche Systémique du Territoire post-effondrement – Pierre Lacroix voir la suite

Coopérativement
René Chaboy
Administrateur du site http://lienenpaysdoc.com/ .Conduit un projet durable de démocratie alimentaire Caylus, Midi-Pyrénées, France sur LinkedIn https://www.linkedin.com/in/chaboy-ren%C3%A9-464b751a/

 

 

La lettre du vaillant petit économiste : taxer c'est bon pour la santé

Taxer c'est bon pour la santé

Le Colbertisme est une tradition malheureuse de notre pays.

« L’art de taxer est de réussir à plumer l’oie sans la faire crier ».


Si la France est en avance dans un domaine, c’est bien celui de la taxation.

Nous sommes même les inventeurs de la fameuse TVA ! Aujourd’hui, c’est le principal revenu des Etats de la quasi-totalité des pays occidentaux.

Fantastique succès pour une invention qui ne date que de 1954 (et réellement appliquée dans sa forme actuelle qu’à partir de 1967 !)

Colbert avait cette phrase magnifique qui explique toute notre politique fiscale :


« L’art de taxer est de réussir à plumer l’oie sans la faire crier ».

Afin de maintenir le niveau de dépense de la cour du Roi Soleil, ce bon vieux Colbert mit en place une politique fiscale basée sur la multiplication des petites taxes.

Les historiens s’accordent à dire que c’était un facteur crucial de déclenchement de la Révolution… ce qui entache un peu le mérite des belles philosophies des Lumières.


La France a-t-elle changée ? Fait-on des taxes pour payer des biens publics … ou pour payer les dépenses somptueuses de la cour des rois ?

Si je vous parle de ça c’est parce qu’aujourd’hui on parle de créer une taxe sur le sel et que j’ai vu cela sur France 2 : Voir la vidéo ici 

 

Je le savais déjà, mais entendre le plumeur national (une sorte de Colbert moderne !) le dire ouvertement a quelque chose de terrorisant :

Car ils n’ont même pas honte de l’avouer !

Pour trouver de l’argent, il s’agit de trouver une cause qui pourrait emporter le cœur du public… même si factuellement c’est une mauvaise mesure.

Actuellement, la tendance est de taxer le mauvais comportement : manger trop gras, sucré, salé, fumer, jouer au casino, etc.

Les gens acceptent ces mesures paternalistes car elles sont
pétries de bonnes intentions.

Comme vous le savez, les bonnes intentions sont les pavés qui tracent la route vers notre enfer…et bien souvent cachent des intentions peu louables.

Vous pensez que le but de la taxe soda est de réduire l’obésité ?

Désolé de vous décevoir mais la réalité est que cette taxe :

  • Fait monter les prix.

  • Touche surtout les plus pauvres (car marginalement ce sont ceux qui dépensent le plus gros pourcentage de leur salaire sur les biens alimentaires).

  • Créé des coûts bureaucratiques supplémentaires pour l’Etat et les entreprises privées.

  • Pousse les gens à acheter dans un pays étranger ou à créer du marché noir.

Sur ce dernier point, ça peut porter à sourire de penser qu’on pourrait faire du marché noir de nutella ou de coca-cola … et pourtant ce sont des choses qui arrivent dans d’autres pays.

On est aussi totalement dans le domaine de l’arbitraire car s’il faut taxer le sucre… pourquoi ne pas taxer les pâtisseries, les yaourts, le pain ou le riz ?

Essayez seulement de manger uniquement des pâtes, des desserts et de la pizza et vous serez aussi obèse qu’une personne qui boit des litres de coca chaque jour.

En réalité, c’est complètement incohérent de taxer uniquement des sodas… il y a du sucre dans quantité d’autres aliments mais aucun parlementaire n’oserait taxer les desserts et les pâtisseries… pour le moment.


Alors POURQUOI la politique ne taxe que les sodas ?

On en revient à Colbert : car les oies que nous sommes ne hurlent pas lorsqu’on taxe Coca-Cola et Sprite mais descendent dans la rue si on taxe le pâtissier du coin ou le fabricant de Kouign Aman breton.

On choisit la cible à taxer car il n’y a pas de résistance dans la population pour cette cible-là.

 

 


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L’essai danois

Le Danemark a été l’un des premiers à mettre en place une taxe mais … sur le gras !

Cette taxe a été vendue au grand public comme une taxe sur les burgers et les frites, etc…

Les politiciens danois voulaient spécifiquement que cette taxe ne soit pas à importance fiscale (afin de ne pas pénaliser les bas revenus) mais uniquement pour la santé publique.

Ils ont également voulu faire une taxe cohérente et ont listé quels gras ils voulaient taxer.

Bref on est loin du cas de la France : la politique danoise se voulait intelligente et réfléchie.


Le résultat a été LAMENTABLE !

Les coûts de mise en place du système ont explosé. Il était très problématique d’identifier tous les produits et de calculer le pourcentage soumis à la taxe.

Les danois se sont également reportés sur d’autres produits tout aussi nuisible et les achats dans l’Allemagne frontalière ont drastiquement augmenté.

Pire : après quelques mois la consommation des produits gras était revenue à la normale.

Après 15 mois, devant l’échec patent de la mesure, les politiciens danois décidèrent de supprimer la taxe.

Déresponsabilisation démocratique

Il est dangereux de confier à la politique le soin de veiller à notre alimentation et à notre santé.

Leur souci principal est de s’assurer de notre complaisance.

Tout le système qu’ils ont mis en place est complètement indécent et sans aucune cohérence !

D’un côté on subventionne la culture de betteraves sucrières et de l’autre on veut taxer les produits sucrés (enfin… seulement ceux qui sont politiquement attaquables).

La seule cohérence qu’on constate n’est pas celle de la santé publique mais bien celle du
calme public !

On achète les différents milieux et on s’assure de taxer là
où ça ne hurlera pas.

Aujourd’hui, il est plus que nécessaire de prendre nous-même notre alimentation en main et de remettre en question les politiciens qui cherchent surtout à se faire réélire et à repousser le naufrage de leurs budgets.

Alors camarades oies, quand allons-nous nous mettre à hurler ?


PS : Si vous ne me connaissez pas, je suis le Vaillant Petit Économiste. À partir d’aujourd’hui, je vais vous dire tous ces petits secrets que les banquiers, journalistes et politiques VUS À LA TV vous cachent soigneusement.
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Sources : 

https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(18)31376-X/fulltext

https://www.capital.fr/economie-politique/sur-le-modele-de-la-taxe-soda-des-deputes-veulent-instaurer-une-taxe-sur-le-sel-1304640

https://health.spectator.co.uk/revisionists-are-trying-to-turn-denmarks-failed-fat-tax-into-a-great-success-dont-be-fooled/

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Appel aux citoyens pour 7 propositions d'une société qui n'oublie pas les biens communs dans le développement durable.

C'est en cherchant des financements coopératifs pour créer des emplois dans le lien social que nous trouverons des solutions évolutives par la Société Civile.

Les 7 propositions seront présentées le 22 Septembre 2018 à Caylus de 9h 30 à 12 heures en période très particulière puisque le Ministre de la Transition écologique et solidaire : Nicolas Hulot a reconnu être seul dans le monde politique à faire avancer la cause écologique .

La transition certes peut perdurer entre quelques convaincu (e) s , mais sans refonder la gouvernance globale et locale , l'effondrement de la société risque de devenir de plus en plus violent pour chacun de nous

Certains disent que l'écologie n'est pas compatible avec l'économie mais quelle économie et quelle écologie peut vivre sans démocratie ?

Quelle économie et quelle écologie peut-on attendre sans une Démocratie adaptée à notre époque ? Peut-on penser que la Démocratie de 2018 existe définitivement quand la mutinationale Bayer domine le monde des affaires ? Son histoire intime passée avec la société IG Farben a-t-elle gardée quelques traces avec un régime inverse à la Démocratie ?

Si la guerre 1939-45 a été gagnée pour le régime de sur-production et de sur-consommation ce système dit de croissance a-t-il fait gagner la Démocratie ?  La démocratie n'est pas un produit finalisé et emballé pour l'éternité , c'est une idée de société qui fait son chemin et qui peut s'adapter aux problèmes de son époque si bien sûr assez d'esprits humains s'engagent ensemble pour la faire vivre.

« Il n’est rien au monde d’aussi puissant qu’une idée dont l’heure est venue. »

Victor Hugo.Ecrivain et politicien français, 1802 – 1885

  N'oublions pas que des armes de la dernière guerre pourrissent encore au fond des océans et ce n'est pas écologique voir la vidéo

J'ai signé cette pétition Nous, citoyens, exigeons la Démocratie Vous en avez assez des élections qui ne servent à rien. Vous êtes excédé par le mépris que manifestent les dirigeants devant votre volonté. Vous êtes attachés à la démocratie. Alors, signez et faites signer la pétition ci-dessous.
 
La 5ème République, instaurée en octobre 1958, fête ses 60 ans dans une atmosphère pathétique de crise de régime, voire de fin de règne.
Sur le plan national, la « république exemplaire » d’Emmanuel Macron se transforme en farce. Sur le plan européen, le discours « toujours plus d’Europe » ne fait même plus sourire. voir la suite

 

parce que rien ne peut changer sans ceux qui vivent l'économie de la base c'est à dire les consommateurs ( et nous consommons tous). Nous devons avoir la possibilité en tant que citoyens d'exprimer d'autres modèles possibles que celui imposé par une minorité d'affairistes . Ces affairistes refont sans cesse « du neuf avec du vieux » pour vendre leurs matériels sans  se préoccuper du social et de l'écologie.

La lettre du vaillant petit économiste : taxer c'est bon pour la santé
« L’art de taxer est de réussir à plumer l’oie sans la faire crier ».

Le Colbertisme est une tradition malheureuse de notre pays.

Si la France est en avance dans un domaine, c’est bien celui de la taxation. lire la suite

Les 7 propositions qui seront faites le 22 Septembre de 9 h 30 à 12 heures à Caylus n'ont pas été tirées d'un chapeau puis mises bout à bout pour faire des discours et demander du financement , c'est en constatant les incohérences, les inégalités dans mon parcours de citoyen et d'être humain développant sa pensée personnelle que l'idée du financement d'un bien commun  pour le lien social a fait son chemin.

Mon parcours , mon expérience de vie

Je m'appelle René Chaboy, ma mère a participé à la résistance malgré son jeune âge et mon père s'est engagé dans la compagnie du Génie qui reconstruisait les ponts durant la libération de la France avec la 1ère armée française , c'est sans doute en leur mémoire que je m'intéresse particulièrement à cette histoire qui a marqué notre pays .

Depuis les années 1980 je suis engagé dans la voie de la recherche de la qualité alimentaire et du lien social , j'étais bien placé puisque j'ai pu observer dans mon parcours de cuisinier commencé en 1967 ces problématiques qui sont de plus en plus nombreuses.

En 1984 j'ai créé des magasins à Toulouse avec confection de plats cuisinés issus de l'agriculture biologique ,  j'organisais des rencontres avec des consommateurs et des producteurs en biologie et biodynamie et j'ai gardé avec B Prieur Voir la vidéo sur youtube   voir le site des paysans des Baronnies   un lien pour poursuivre une réelle économie alimentaire libérée des intérêts des multinationales de la malbouffe

J'ai participé à Toulouse dans les années 1995 aux réunions de l'Agenda 21 qui proposait un programme de Développement Durable.

Avant 2010

J'ai commencé à participer bénévolement et régulièrement à des réunions et ateliers avec des décideurs dans le Conseil de Développement de Territoire Pays Midi Quercy

Récemment j'ai participé aux ateliers Zéro chômeur Longue Durée avec des membres du Conseil Municipal de Caylus et les maisons de l'emploi du secteur

Lors de ces ateliers j'ai appris de la bouche de certains membres du Conseil Municipal qu'ils n'avaient pas d'idées sur comment créer de l'emploi c'est à dire du travail rémunéré et j'en ai donné .

Le directeur de la maison de l'emploi de Caussade a été l'un des organisateurs de ces ateliers, il a soudain disparu quelques années après la création de cette maison qui a eu un coût important ….ces ateliers n'ont pas eu de suite ….le Directeur a-t-il pris conscience de l'échec et du pourquoi de cet échec ?

Je pourrai énumérer une liste de créations qui ont eu des idées pour recevoir du financement public mais pas pour trouver celles qui permettent aux lourds investissements de durer dans la vie économique sociale et écologique du territoire.

J'ai constaté dans mon cheminement associatif, que certaines associations et institutions subventionnées demandent  une cotisation en plus . Comment en période du développement des inégalités peut-on imaginer développer un réseau en demandant toujours plus d'argent à ceux qui en ont le moins ? Comment peut-on imaginer que ce réseau puisse se développer avec toujours plus de pauvres et moins de riches ?

Vous retrouverez dans la possibilité d'une gouvernance par 7 propositions de la société civile des moyens d'éviter le développement de la dette publique en gérant l'économie réelle.

Le projet d'élevage intensif à Septfonds 82240 à 14 kms de Caylus 82160 sur le même territoire Pays Midi Quercy est un exemple contraire à la définition du développement durable tel qu'il a été défini en 1992 , puisqu'il ne respecte pas l'écologie , le social et l'économie . Les lobbies sont présents partout dans le pouvoir du global au local et divise les intérêts des villages d'un même territoire , les élus locaux devraient en être conscients, sinon l'incivilité et la violence ne seront jamais évitées.

La démission du ministre de la Transition écologique et solidaire Nicolas Hulot a eu l'effet d'un tsunami médiatique. De nombreux chroniqueurs ont compris le bon sens de cette démission liée à sa solitude face au manque d'engagement des pouvoirs publics dans les affaires des biens communs . Nous pouvons constater que les aides publiques mêmes locales continuent de favoriser des animations qui attirent les foules de touristes dans certains territoires . Devant l'urgence du développement des biens communs , les foules deux ou trois jours dans l'année ne règlent pas l'économie réelle des 362 jours restants dans des zones rurales en difficulté .Prioritairement si des réflexions ne sont pas engagées sur comment des biens communs peuvent s'organiser dans les territoires pour créer de la vie sociale , écologique et économique toute l'année, les conséquences continueront de s'aggraver.

Le manque de conscience et la volonté d'aborder les réels problèmes par le bon bout permet une réaction en chaîne des mauvaises solutions qui engendrent de nouveaux problèmes en persévérant dans le mauvais sens .

Rappel de la définition « Le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs », citation de Mme Gro Harlem Brundtland, Premier Ministre norvégien (1987).

En 1992, le Sommet de la Terre à Rio, tenu sous l'égide des Nations unies, officialise la notion de développement durable et celle des trois piliers (économie/écologie/social) : un développement économiquement efficace, socialement équitable et écologiquement soutenable. » 
Le changement climatique, l'incivilité remarquée par certains maires ( voire peut être par tous ), la montée de la violence , les difficultés des entreprises.... sont des sujets prioritaires qui devraient réunir les élus, les institutions publiques les entreprises et associations financées par des subventions publiques  et la société civile proposant  des innovations malgré son manque de financement  .... qui est donc bien obligée de penser à l'économie réelle ....

Dans les faits nous observons le contraire dû aux incohérences , aux échecs puisque les objectifs des réunions sont décidés par une gouvernance alliant les pouvoirs publics à des entreprises et associations choisies sans que  celles-ci respectent la  connaissance des biens communs et du développement durable . Sans se donner coopérativement la possibilité d'examiner les chiffres qui seuls peuvent confirmer les échecs répétés, d'autres projets sont immédiatement reconduits avec le pouvoir des décideurs qui connaissent parfaitement le moyen d'obtenir du financement .

Le fait d'accorder des subventions à des projets ou à des entreprises ou associations qui ne sont pas prioritairement engagées dans les biens communs du développement durable conduisent à une mauvaise redistribution de l'argent public et à développer l'inégalité.

« On n’arrivera pas à changer les choses si on ne remet en cause l’inégalité »

Hervé Kempf - Tout est prêt pour que tout empire voir la vidéo 

Victor Hugo.Ecrivain et politicien français, 1802 – 1885 avait dit avant lui " et je dis que l'Humanité a un synonyme : Egalité "

Les incohérences, les inégalités découlent d'une vision d'en haut de la pyramide empilant des institutions publiques qui redistribuent du financement public à des réalisations dont les objectifs de connaître et de respecter le développement durable de biens communs ne sont pas prioritaires.

Biens communs-Et si les « communs » constituaient cette fameuse « troisième voie », sociale et écologique, entre le marché et l’État? voir la suite

Sans la volonté d'analyser coopérativement des échecs, ceux-ci se répètent ; sans le lien social inter-connectant les propositions prioritaires à sa base, le développement durable se transforme en développement de la dette publique.

Le lien social actif peut se créer au début d'un nouveau processus égalitaire horizontal et transversal avec des propositions reconnues comme indispensables à la voie sociale-écologique et économique , d'autres propositions peuvent venir s'ajouter si elles ont déjà leurs porteurs engagés et identifiés et non pour le faire réaliser à d'autres , car l'engagement ne se décrète pas pour les autres mais pour soi-même.

En décidant de gagner un temps précieux , en oubliant de participer aux réunions décidées par une gouvernance qui ne tient pas compte de l'avis de la société civile, j'évite de polluer j'économise les frais de trajets qui n'ont jamais été indemnisés malgré les promesses faites dans la recomposition du Plan d'Equilibre Territorial Rural Pays Midi Quercy .

Depuis que j'évite ces réunions, je peux faire bénéficier mon temps et mon argent ainsi gagnés au fonctionnement de l'association Lien en pays d'OC engagée depuis plus de 20 années dans les biens communs et le développement durable en accord avec le Sommet de la Terre à Rio, en 1992, tenu sous l'égide des Nations unies, qui a officialisé la notion de développement durable et celle des trois piliers (économie/écologie/social) : un développement économiquement efficace, socialement équitable et écologiquement soutenable. »

Le financement de cette association je la partage actuellement avec Christiane Roques , et je cherche des moyens d'obtenir des dotations pour poursuivre et élargir le développement durable des biens communs qui éviterait le développement de la dette publique .

A plus de 70 ans , aujourd'hui je ne voyage plus et je ne vais plus aux réunions qui sont déjà décidées d'avance par et pour des intérêts à re-faire du neuf avec du vieux, je persiste à penser que la voie proposée par B Prieur mettant en relation directe producteurs , distributeurs et consommateurs dans la voie de l'économie alimentaire de qualité est une base fondamentale à organiser pour sortir du pouvoir absurde qui nous dirige d'en haut toujours plus vers le fond …

Je propose des réunions qui éviteraient d'ajouter des couches au millefeuille de la gouvernance dominante pour libérer une économie sociale et écologique qui s'élargira de la base d'un territoire . Lorsqu'elle reste confinée à l'intérêt d'une gouvernance d'un cercle d'un village, lorsque le maire du village est aussi Président du Plan d'Equilibre Territorial Rural : le cumul de mandats est il favorable à la civilité politique? Lorsque le cercle d'un village décide et gouverne sans tenir compte de l'apport des idées de la société civile, il finit par voir l'incivilité que d'un seul point de vue sans  que l'économie sociale-écologique et économique puisse s'organiser à partir d'un nouveau processus  avant de pouvoir se développer.

"Incivilités STOP" dans le mot du maire de Caylus voir la suite

Si nous voulons construire et garder des zones intermédiaires face au réchauffement climatique , les zones rurales doivent être gouvernées par la société civile ou du moins avec sa participation .

Une tri-articulation entre élus décideurs, acteurs citoyens engagés de la société civile et habitants : indispensable au développement économique durable de nos villages lire la suite

Cela demande un engagement personnel sans attendre indéfinitivement les prochaines élections . voir site

Principes de la Démocratie Évolutive cliquer ici
Une gestion des affaires publiques par la société civile suite

Venez découvrir 7 propositions de la Société Civile pour réseaux coopératifs le 22 septembre 2018 à Caylus .

Des propositions pour le village et le territoire Quercy Rouergue

7 propositions = 7 groupes

Ces 7 propositions ne peuvent être séparées les unes des autres : cela permet d'éviter que certaines institutions obtiennent des subventions publiques pour séparer les idées ; ces idées doivent être considérées ensemble (avec des groupes responsables pour chaque proposition) ; elles créeront des postes rémunérés pour inter-connecter le travail de ces 7 groupes . Ces postes rémunérés seront portés par la société civile pour développer un réseau dans l'esprit de démocratie évolutive comme base fondamentale avec les entreprises , les associations et les pouvoirs publics décidant dans l'égalité, dans le but de favoriser l'inter-connection du développement durable des biens communs.

Liberté-Inégalité-Fraternité ou Liberté -Egalité-Fraternité ? Les incontournables pour construire la société éthique et équitable évolutive lire la suite

Des informations complémentaires pour construire des groupes portant 7 propositions de la société civile pour un développement durable qui n'oublie pas les biens communs.

Pourquoi la démission de Nicolas Hulot est un appel au sursaut collectif

Par Mr Mondialisation

La démission de Nicolas Hulot n’est pas seulement l’aveu d’un échec pour Nicolas Hulot lui-même et le gouvernement Philippe dont la politique environnementale brillait par son incohérence et son manque d’ambition. C’est aussi un message clair adressé à la société : répondre à l’urgence écologique est un impératif qui ne peut plus souffrir d’exceptions et de demi-mesures et qui doit dépasser les clivages politiques traditionnels. Suite

Croissance et chômage : la France a complètement décroché

Source: IREF 

Publié par Peuple de France

Les dernières études d’Eurostat publiées mi-août dévoilent une situation préoccupante pour la France, qui décroche de plus en plus.

En ce qui concerne la croissance au premier semestre, la France est dernière avec seulement 0.4 % de hausse du PIB contre 0.8 % en moyenne dans la zone euro. Sur la même période, les Etats-Unis affichent une croissance 4 fois supérieure ! Même le Royaume-Uni fait mieux que la France (0.6 %).

Considérons maintenant le taux de chômage : la France semble aussi avoir perdu le train. Alors que l’Allemagne affichait un taux de chômage plus important que la moyenne de l’Union européenne de 2002 à 2008, elle est très nettement en-dessous depuis la crise économique et financière. Elle se targue aujourd’hui d’un taux deux fois plus faible (3,8% pour l’Allemagne contre 7,6% pour l’UE). Suite

Langue de bois : la recette d'un discours parfaitement vide de sens

Repérer un discours prononcé en langue de bois n'est pas toujours chose aisée. Voici de quoi mieux décrypter cette technique.

Par Raphaëlle Dormieu

« Ce sont des mots qui ne veulent rigoureusement rien dire mais qui ont l’air de dire quelque chose. En tout cas, ils ne disent pas ce qu’ils ont l’air de dire, et ce qu’ils disent vraiment, ils ne le disent pas. »

La langue de bois, chacun de nous peut la pratiquer sans s’en rendre compte. L’essentiel est donc de prendre conscience de ses rouages afin de s’en libérer.  voir la vidéo

Rire ensemble alors que nous sommes les dindons de la farce devient bien moins drôle lorsque nous prenons conscience que cette mascarade dure depuis bien longtemps et que rien ne peut l'arrêter sans engagement personnel . Nous risquons de pleurer seul si coopérativement nous nous donnons pas des moyens de nous évader de cette prison de manipulations car les  institutions publiques ne se remettent pas en question. Les institutions ne se remettent pas en question car elles ont le pouvoir  d'empiler d'autres institutions,  d'autres outils ,d'autres programmes , d'autres ateliers , d'autres postes qui développent durablement  la dette mais pas le développement durable de postes rémunérés pour les biens communs qui feraient des économies .

La stratégie de l’émotion

Par Anne-Cécile Robert

  • Avant propos de Éric Dupond-Moretti

Les émotions dévorent l’espace social et politique au détriment des autres modes de connaissance du monde, notamment la raison. Certes, comme le disait Hegel, «rien de grand ne se fait sans passion», mais l’empire des affects met la démocratie en péril. Il fait régresser la société sous nos yeux en transformant des humains broyés par les inégalités en bourreaux d’eux-mêmes, les incitant à pleurer plutôt qu’à agir.

À la «stratégie du choc» qui, comme l’a montré Naomi Klein, permet au capitalisme d’utiliser les catastrophes pour croître, Anne-Cécile Robert ajoute le contrôle social par l’émotion, dont elle analyse les manifestations les plus délétères : narcissisme compassionnel des réseaux sociaux, discours politiques réduits à des prêches, omniprésence médiatique des faits divers, mise en scène des marches blanches, etc. Une réflexion salutaire sur l’abrutissante extension du domaine de la larme et un plaidoyer civique pour un retour à la raison. Lire la suite

Associations, syndicats et sociétés de journalistes s’associent à la saisine du conseil constitutionnel

Secret des affaires : associations, syndicats et sociétés de journalistes s’associent à la saisine du conseil constitutionnel

38 organisationSecret des affaires : associations, syndicats et sociétés de journalistes s’associent à la saisine du conseil constitutionnel

s (associations et syndicats), dont Anticor, et 10 sociétés de journalistes déposent une contribution au conseil constitutionnel (sous forme d’une « porte étroite ») pour s’associer aux recours déposés par les parlementaires contre la loi sur le secret des affaires. Lire la suite

Pourquoi il est urgent de faire un régime de l’information

Par Mr Mondialisation

La radio au petit-déjeuner, le journal gratuit dans le métro, le smartphone à tout instant et ses liens depuis Facebook ou Twitter vers des articles pas toujours intéressants, aguicheurs certainement, les lettres d’information qui envahissent le courriel, les bulletins municipaux, inter-municipaux, régionaux, les abonnements divers, la télévision le soir : n’avez-vous pas un sentiment de trop-plein informatif ? Face à ce gavage permanent, n’est-ce pas le moment d’engager une petite diète informative de raison ? Lire la suite

Inégalités entre ceux qui se servent au lieu de servir, entre le pouvoir d'obtenir des subventions et ceux qui les payent ,  inégalités entre mégapoles urbaines et zones rurales ..... lire la suite

Le domaine flou et inéquitable des subventions lire la suite

Rien n’est bon dans « subvention »- Résistance au développement de la dette publique qui génère l'effondrement écologique planétaire-Offre de services sociaux-écologiques et économiques aux administrations publiques lire la suite

C'est en cherchant des financements coopératifs pour créer des emplois dans le lien social de l'information du développement durable des biens communs que nous trouverons les solutions.

Merci d'avoir lu jusqu'au point . À suivre …..